Avec le recul du temps, il est possible d’analyser les différentes techniques utilisées encore aujourd’hui par le groupe Cap’em pour obtenir le pouvoir municipal puis après la défaite, pour tenter de le reconquérir.Une campagne de dénigrement avec attaques personnelles contre le Maire, MM. Bitbol et Morel.
Une dévalorisation physique des adversaires trop vieux, trop laids, malpropres qu’il convient de comparer avec un demi-dieu cravaté, barbe fleurie et accompagné de l’arc-en-ciel.
Devant l’échec, un appel à la justice pour une remise en cause des résultats, pour des tricheries pendant la campagne ?…
Toutes ces stratégies ayant échouées, le groupe Cap’em, en pleine déliquescence, tente aujourd’hui de phagocyter les associations.
Ainsi, M. et Mme Touchard, habitants du château de Malnoue, se sont présentés au Clos d’Emery après avoir appris qu’une association nouvelle s’y était créée.
Ainsi un membre de Cap’em habitant le Bourg est devenu vice-présidente d’une association de lutte contre les nuisances de l’aérodrome, nuisances particulièrement importantes sur le Hameau. Cette arrivée a eu pour cause de nombreuses démissions d’adhérents.
Ces tentatives de politisation des associations font suite au noyautage effectué, lors des élections municipales, du club de football avec des promesses (jamais écrites naturellement) de la construction d’un terrain synthétique.
Les associations sportives et culturelles ont comme principaux partenaires les mairies et leur politisation ne peut être que néfaste pour les deux parties.
Aucune opposition émerainvilloise n’a tenté de le faire depuis la création sur notre ville de la première association.
Cap’em n’innove pas mais détruit ou plutôt tente de détruire, tout ce qui fonctionne bien sur la commune et pratique la politique de la terre brûlée.
Après avoir outrageusement copié notre programme électoral ce groupe, affirme que ses idées ont permis la réalisation de tout ce qui a été fait depuis un an.
Nous prenons acte de ce gros mensonge que personne ne peut croire.