La cessation d’activité est une étape importante de la vie et doit être intelligemment préparée pour ne pas sombrer dans l’ennui et continuer à vivre normalement sans ressembler à Tatie Danièle.
Dans le cas contraire, la vieillesse est comme disait De Gaulle un naufrage.
Les « élites » de notre opposition (M. et Mme Favory, Mme Martine Stocker, M. Bernard Le Meur) avaient sans doute envisagés de remplir leur emploi du temps en remplaçant notre équipe à la mairie.
Ils furent battus aux élections, et au lieu de s’occuper  en travaillant avec nous au bien de la commune, ils perdent leur temps (et nous font perdre le nôtre) en pratiquant  une politique de harcèlement enfantine qui n’a aucun sens.
Mme Stocker se transforme en photographe amateur pour trouver une faille dans le règlement sanitaire mis en place par le café de la mairie alors que les autres retraités de sa liste crient partout qu’ils défendent le commerce local.
Ils ne sont sans doute pas tout à fait d’accord entre eux à moins qu’ils n’aient des problèmes physiques de motricité,  les empêchant de se déplacer et donc de se rencontrer régulièrement.
Mme Stocker, notre Tatie Danièle en chef, s’est également spécialisée dans la critique des arrêtés municipaux et dans leur demande d’annulation auprès de la préfecture.
Les autres Tatie Danièle (ou tonton Daniel) combattent la sénilité en critiquant et en s’opposant à tout ce que la mairie fait.
Ils montent au créneau parce que l’arrêté concernant la chasse n’a pas été, d’après eux, suffisamment publié et tonton Mercier se rend régulièrement avec tata Favory en mairie pour réclamer papier sur papier.
Naturellement, la disparition progressive des neurones attaque la mémoire et ils ne se rappellent plus qu’une pièce est réservée en mairie à l’opposition, que cette pièce est équipée d’un ordinateur, d’un téléphone, d’un bureau, de plusieurs chaises …
Enfin et pour terminer cette triste constatation, l’ensemble des Daniel dirigés cette fois-ci par le marionnettiste en chef, l’homme à la barbe fleurie, a tenté de fomenter une révolte et d’interdire à l’entreprise missionnée l’accès à la rue Silencieuse.
Ils recherchaient sans doute un surplus d’activité physique.
Evidemment, les riverains n’ont pas suivi et nos retraités se retrouvant à trois personnes furent obligés encore une fois de mentir et d’expliquer à la police nationale qu’ils ne critiquaient pas les travaux mais qu’ils n’avaient pas vu l’arrêté les décidant. Tout cela manque de courage et génère une perte de temps considérable non seulement par les services municipaux (financés par le contribuable local) mais aussi pour les services de l’Etat (police dans le cas d’espèce, préfecture …) financés par le contribuable national.