Trois réunions de quartier (Malnoue, Rose bleue, Orangerie) ont été organisées par les élus majoritaires.
Globalement nous avons ressenti une satisfaction générale sur les opérations entreprises depuis le début du nouveau mandat et sur la gestion de nos différentes équipes municipales en place depuis plus de vingt-cinq ans.
Évidemment, rien n’est parfait et chaque quartier possède ses problèmes spécifiques.
Pour Malnoue 2, il s’agit des avions et de la pollution de l’air.
Pour la Rose bleue, il s’agit de la sécurité, de la propreté, des rétrocessions de voirie et de la politique des transports (pistes cyclables notamment).
Pour l’Orangerie, la circulation dans la ville ainsi que les problèmes de drogues qui semblent déborder le Clos, sont les principales préoccupations.
Nous avons répondu aux questions posées en faisant la distinction entre les domaines de la compétence de la municipalité et les autres domaines qui ressortent de la communauté d’agglomération, de l’État, des Régions, des Départements, des copropriétés.
Le système administratif français est d’une telle complexité que les électeurs s’y perdent et finissent par rendre responsable la municipalité de tous leurs désagréments.
Ainsi, pour le réseau routier, une carte d’Émerainville sera bientôt distribuée avec des rues de couleurs différentes selon leur gestionnaire responsable.
NB : Nous avons remarqué sur deux réunions sur 3, l’absence de tous les membres (non élus certes) de la liste Cap’em habitant les quartiers concernés.
Nous rappelons à ces personnes que s’inscrire sur une liste aux élections municipales est un acte civique et qu’il convient ensuite de travailler pour sa commune ou du moins connaître ce qui s’y passe.
Dans le cas contraire la candidature n’a aucun sens sinon flatter son égo. Nous rappelons aussi que les candidats s’engagent pour 6 ans et qu’il convient de prévoir l’évolution probable de sa vie professionnelle et personnelle afin de ne pas partir à la retraite ou de déménager au bout d’un an de mandat.
Mme Désir, M. Mercier, ont trompé les électeurs en postulant à un mandat qu’ils savaient ne pas pouvoir accomplir dans le temps. Avec une mention spéciale pour M. Mercier qui s’est opposé avec virulence à la modification de sa rue qu’il était prêt à quitter.
Pauvre Cap’em, qui avec ses soutiens, les plus mal embouchés, pensait que compte tenu de l’âge, de certains membres de l’équipe majoritaire, la mort allait faire des ravages dans ses rangs et que cette équipe de vieillards serait dans l’impossibilité de gérer la commune faute d’élus survivants.
Pour la commune, la démission est une forme de mort civile et nous comptabilisons donc deux « de cujus » dans l’opposition plus un demi qui passe sa retraite, très loin de notre ville dans le sud.
Trois élus sur six le ratio est très, très élevé.
Par contre, il n’y a aucun problème pour leur succession, ces mortels n’ayant rien fait pour notre commune.
Seul le demi-mort possède des idées géniales qu’il devrait nous communiquer avant que sa démission soit effective.
Bernard, pense à nous et à notre ville, soit bon et donne nous tes secrets.