Dès qu’un membre de l’équipe CAP’EM cherche à s’occuper d’un problème ou d’une activité municipale, l’affaire est immédiatement politisée et anti mairie primaire.
Le foot et les promesses faites pour un terrain en synthétique. Ces promesses étaient uniquement électorales et ont causé un tort considérable au club.
Le badminton a été noyauté par l’équipe Quinion et cette section sportive a fini par se détruire elle-même, sans aucune pensée pour ses adhérents, et même en tentant de les « monter » contre la mairie responsable de tout. Ce sport géré désormais par la commune est en pleine expansion.
L’ARALE a pour vice-présidente Mme Quinion. Cette association ne désire pas travailler avec la mairie qu’elle accuse de n’avoir rien fait contre le bruit depuis des années. Plutôt qu’une collaboration nécessaire, avec les villes, nous sommes en face d’une opposition, qui se considère comme la seule interlocutrice valable, et a tenté d’éliminer les communes dans une première version de la nouvelle charte (la première date de 1997 et fut conclue entre Émerainville, les associations d’avionneurs et l’EPA MARNE).
L’ARALE, à la manière de CAP’EM, mélange allégrement les textes. Cette association a tenté d’être l’unique représentante des villes concernées dans la seconde version de la charte.
Elle revient sur toutes les mesures prises même celles qu’elle a acceptées.
Invitée à une réunion publique en mairie d’Émerainville, elle se croit l’organisatrice et désire que tous les participants se groupent autour d’elle, considérant ainsi que le sous-préfet et les maires ne sont que des seconds couteaux.