Nous avons reproché aux deux équipes de l’opposition à Émerainville au Cœur d’avoir disparu durant la totalité de l’épidémie et nous n’avons jamais reçu de démentis officiels, qui démontrent, preuve à l’appui, la fausseté de cette affirmation.
Nous avons aussi écrit qu’un bon, sixième ne faisait pas un bon premier et qu’il fallait à tout groupe humain un chef compétent pour tracer le chemin.
Les malheurs de la section natation de l’ASE illustrent et justifient les affirmations ci-dessus. Cette association joue de malchance périodiquement.
– Elle eut autrefois M. Huleux comme Président et sa gestion aurait entraîné une cessation de paiement et le dépôt de bilan si la commune n’avait pas voté une subvention exceptionnelle pour rétablir l’équilibre financier.
– Elle possède actuellement comme président de la section natation (la plus importante en nombre d’adhérents) M. Bernard Le Meur qui, prend des décisions pour le moins étranges et non motivées.
Une pétition des nageurs circule actuellement, ce qui dans une ville qui se glorifie d’avoir un secteur associatif exceptionnel fait mauvais effet.
Les reproches des mécontents sont de deux ordres :
– la disparition totale du président de section pendant les deux mois de la pandémie (ce qui justifie ce que nous avons toujours reproché à CAP’EM) ;
– un refus non motivé sérieusement de rembourser une partie des cotisations pour tenir compte de l’interruption de plus de deux mois des cours et de l’utilisation de la piscine.
Nous pensons que ce sont là, les idées géniales que M. Le Meur nous reprochait de ne pas lui avoir laissé mettre en place avant son départ de notre groupe.
Les prétextes qui ont été donnés pour refuser le remboursement sont pitoyables et ne reposent que sur des mensonges (une habitude chez les capémiens ):