Selon le GIEC, le réchauffement de la planète est dû pour l’essentiel à l’augmentation de CO2 attribuée à l’activité humaine. Cette thèse est vérité d’évangile pour le monde politique, pour les médias.
Gare à celui qui prêcherait le contraire.
Il faut donc transformer nos moyens de production, notre économie et, sans doute, notre mode de vie, ce qui nécessitera des dépenses colossales, et une décroissance suivie d’une forte hausse de la pauvreté.
Pourtant plusieurs scientifiques contestent cette théorie. Un éminent géophysicien français après avoir analysé les bulles d’air emprisonnées dans les carottes de glaces dites « de Vostok » qui fournissent des informations sur le CO2 et sur une période de 423 000 ans a constaté que les hausses de température précèdent l’augmentation du CO2 d’environ 800 ans en moyenne.
Ce ne serait pas le C02 qui serait responsable du réchauffement mais le réchauffement qui serait responsable de l’augmentation du C02.
Tout cela remet en cause les grandes théories de l’action humaine sur le climat mais aussi sur la « vérité scientifique » que le GIEC tente d’imposer au monde entier.
Je pense qu’en ce qui concerne la climatologie nous en sommes encore au moyen-âge, période durant laquelle la terre était obligatoirement plate et les rares savants qui doutaient étaient brulés vifs.
Il en est de même aujourd’hui et les scientifiques qui pensent que le changement de climat serait dû principalement à un mouvement des planètes plutôt qu’à l’activité humaine, sont mis sous l’éteignoir (on ne les brûle plus heureusement).
Les chercheurs doivent pouvoir éditer leurs œuvres librement et en débattre entre eux. La science a toujours avancé comme cela.
De plus les vérités d’aujourd’hui peuvent être les mensonges de demain.
Ainsi même les verts commencent à penser que l’énergie nucléaire est un bien pour la planète. Les éoliennes sont un fiasco, elles ne fournissent de l’électricité que lorsqu’il y a du vent (personne ne le savait avant les installations) tuent toute vie animale aux alentours, et cause de graves maladies dans la population.
Les écolos se sont encore trompés sans jamais faire amende honorable.
Qu’en pense le GIEC ?
PS : Pour la petite histoire, GIEC veut dire Groupe Intergouvernemental des Experts du Climat alors qu’il devrait être, la simple traduction d’IPCC qui en langue anglaise veut dire Panel Intergouvernemental sur le Changement Climatique.
Le terme anglais ne mentionne pas le nom « Expert ». Bizarre non ?