Comment peut-on penser que quelques milliards de lilliputiens qui s’agitent sur notre terre puisent la sauver après l’avoir mis en danger ? Ces Shadocks se prennent-ils pour Dieu ?
Notre péché originel fut pendant des siècles d’avoir croqué la pomme. Aujourd’hui notre péché est de vivre normalement en respirant normalement, en mangeant normalement, en nous transportant normalement et surtout en nous reproduisant normalement.
Mais à part pomper que peuvent faire les primates que nous sommes face à l’univers ?
« Car enfin qu’est-ce que l’homme dans la nature ? Un néant à l’égard de l’infini, un tout à l’égard du néant, un milieu entre rien et tout infiniment éloigné de comprendre les extrêmes la fin des choses et leurs principes sont pour lui invinciblement cachés dans un secret impénétrable. Également incapable de voir le néant dont il est tiré et l’infini où il est englouti. » (PASCAL)
L’écologie, cette nouvelle religion, nous abreuve de slogans et de mots (d’ailleurs toujours les mêmes).
Solidaire, responsable, durable, circuit court, biodiversité obsolescence programmée, fin du monde, manque d’eau, trop chaud, trop froid, trop de pluie, pas assez de pluie, ….
Comme les autres religions, elle est tyrannique et n’admet pas la contradiction. Elle ne nous promet pas l’éternité, mais elle nous fait dépenser un fric fou pour lutter contre le vent, l’eau, l’air, (dépenses que les autres pays dont la population est supérieure à la nôtre, ne font pas).
Autrefois les manants qui crevaient de faim construisaient des églises, aujourd’hui nous finançons des éoliennes, cassons nos centrales nucléaires, puis les reconstruisons alors que notre pays est proche de la ruine.
Devant tout problème il faut raison garder aurait dit CHIRAC.