Notre dernier président de gauche, M. Hollande a été élu avec deux slogans :
1. Mon ennemi c’est la finance
De même, Mélenchon avait lui, comme programme de casser le système financier et le peu de sociétés françaises qui ont un rayonnement international.
Cette destruction des finances, éternel refrain de la gauche dans l’opposition, n’est évidemment jamais mis en pratique dès que nos révolutionnaires sont au pouvoir.
Sur le plan individuel et à ma connaissance les élus de gauche ne sont pas dans la misère. Je crois même que leur fortune personnelle dépasse largement celle des élus de droite.
2. C’est gratuit quand c’est l’État qui paie
Je me demande souvent ce qu’on leur apprend à l’ENA ? Mieux, comment peuvent-ils mentir à ce point au bon peuple ?
Rien n’est gratuit dans la vie et quand l’État donne le contribuable paie.
Un célèbre entraîneur de foot (pas celui du Paris Saint-Germain qui par son humour badin, fut cloué aux piloris par l’inquisition verte) a déclaré il y a de nombreuses années que « Avec l’argent on ne peut pas tout faire mais sans argent on ne peut rien faire ».
L’État français vit à crédit, les collectivités locales (régions, départements, intercommunalités, communes) n’ont plus d’argent (ce que j’avais prévu depuis au moins deux ans) et des décisions vont être prises pour sauvegarder l’intérêt collectif par rapport à l’intérêt particulier.
Malheureusement, la population n’est pas prête à subir des diminutions de services ou des augmentations de tarifs, et chaque personne veut toujours plus.
L’initiative privée n’existe plus, tout doit arriver sans effort devant notre porte.
Quant aux oppositions, en pleine période de crise, elle réclame un SMIC à 3000 € net, une semaine de travail de 28 h et un départ à la retraite possible à 50 ans.
Sont-ils drôle !!!!!!
La CGT nous prépare des grèves à répétition, ce qui va nécessairement améliorer la situation économique du pays.
La valeur travail n’existe plus et tout doit nous être donné gratuitement un peu comme une manne céleste.
J’ai appris dans ma jeunesse que seul le travail permettait de nourrir sa famille, de se faire respecter, d’améliorer son niveau de vie…
Il semble que désormais, le travail a été remplacé par l’assistanat, que le « j’ai droit » remplace le « je dois » et ce dans tous les domaines.
Le « j’ai droit » n’a aucun fondement économique, il n’existe que dans une société évoluée disposant de moyens financiers notamment.
Dans les conditions actuelles le système ne peut qu’exploser et l’assistanat diminuer.
Attendons le prochain train de mesures qui nous sera présenté.