Dernière nouvelle, Cap’em qui fut inexistant pendant les nuits de révoltes s’inquiète désormais du sort du buraliste dont le stock a été pillé par les émeutiers.
C’est un groupe merveilleux, qui disparait au moment du danger mais que l’on retrouve à tous les rassemblements de protestations.
Nous pensons qu’en 1940, Cap’em aurait été pétainiste et gaulliste à la libération.
P.S. : les émeutes n’avaient rien à voir avec la mort du jeune délinquant, mais Cap’em (socialiste animaliste, LR) ressemble de plus en plus à la NUPES et veut sans doute récupérer les voix des « révolutionnaires antis français primaires ».
Écœurant.