Je ne peux pas intervenir sur le FB (je suis bloqué) de ceux qui disent la vérité et je le regrette amèrement car j’aurais pu enfin connaître la fin des choses et leur principe qui est, d’après Pascal, « cachée dans un secret impénétrable. »
Mais avec Cap’em tout est possible, notamment en finances.
Parmi la bonne dizaine de lecteurs qui lisent les textes figurant sur le Facebook Cap’em, un mien ami, s’astreint à en prendre connaissance et me transmettre les meilleurs articles.
Le dernier qui m’a été transmis portait sur le DOB et la politique économique et financière de la Ville.
Subjugué par la véracité des écrits, j’ai appris notamment que :
QUINION, STOCKER, LE MEUR et bientôt MAES, transfuges de Cap’em, ont toujours approuvé cette position.
Pour répondre aux questions de l’opposition lors des commissions, encore faut-il qu’elle en pose. Les élus peuvent venir en mairie avant et après les commissions (prendre connaissance des dossiers) qui figurent à l’ordre du jour.
Les commissions ne sont pas des cours du soir, et les élus majoritaires n’ont pas vocation à donner la becquée à des personnes incapables de faire le moindre effort pour remplir correctement leur mandat.
Pour calculer un ratio, encore faut-il connaître son utilité.
La commune comptait 222 agents en 2021 et l’augmentation des frais de personnel en 2022 s’explique par les changements de grille, par le GUT, par certaines embauches… Il faut que Cap’em comprenne une fois pour toute que pour 2022 nous sommes dans le domaine de la prévision. Si cette opposition peut nous donner les chiffres exacts avec un an d’avance, nous sommes preneurs !
Pour la PM, les chiffres ont été donnés en commission mais aussi en conseil. Les postes ouverts dans le tableau des effectifs, ne sont pas obligatoirement pourvus. Il s’agit encore d’une prévision.
Six années avec nous et ils n’ont rien appris.
C’est déprimant.
Le compte administratif établi par les services municipaux est terminé. Le compte de gestion établi par la trésorerie n’a pas encore été reçu (Cap’em devrait à mon avis faire un procès au trésor public pour négligence ou au moins écrire au procureur, au préfet et à la cour des comptes).
De ce fait, les comptes 2021 sont certains à 99.999 % ce qui dans un débat d’orientations budgétaires suffit largement. Nous ferons connaître naturellement les différences de chiffres dès la comparaison faite. Évidemment, le problème se pose pour tous les débats d’orientations budgétaires dans toutes les collectivités, mais Cap’em se réveille contrairement à l’année dernière.
L’augmentation des emprunts a été aussi abordée. Elle est due au programme important d’investissements à faire, aux taux qui sont encore faibles et à l’endettement il faut retirer 1 000 000€, cette somme étant en trésorerie et ne devant servir qu’en 2022.
Même avec cette somme, notre capacité de désendettement est nettement en dessous (7 ans 33) du chiffre demandé par l’État (13-14 ans).
Cap’em s’aperçoit (mais cela est valable depuis des années) que les programmes d’investissements ne sont pas tous réalisés en une année (pour le stade, voir l’opinion des dirigeants du club).
L’élargissement de Guy-Drut a pris du retard, les paiements se font en fonction des « états de chantier », mais M. Quinion, ex-adjoint chargé de l’Urbanisme, devrait savoir tout cela. Il n’y a pas de dépassement financier.
Mauvaise lecture les 100 000 € ne concernent pas Garmatex, mais la plaine nord et la ferme biologique. Rien ne peut se faire sans ces études, mais nous comptons sur Cap’em pour nous expliquer encore une fois comment commencer un projet agricole sans connaître la qualité de la terre, le passage des eaux etc.
L’affaire Pylos est en cours et nous ne pouvons pas préjuger de la décision finale. Pour ce qui concerne le coût de l’opération, les chiffres donnés sont trop variables pour être cités. Quant à la responsabilité de l’opération, Cap’em peut demander à un de ces membres (M. Courtois) qui alors chef de la police municipale d’Émerainville a suivi l’affaire de bout en bout et trouver le transporteur.
Nous attendons les contrôles de Cap’em en souriant car, pour contrôler il faut connaître le sujet.
Gérer c’est prévoir mais aussi travailler et se donner de la peine.