Ce matin dès mon lever, j’ai remercié les dieux Lares pour l’excellente nuit que je venais de passer.
Après une incantation au soleil pour le remercier d’éclairer encore une fois notre terre, j’ai remercié la pluie qui va venir et qui apportera l’arc-en-ciel symbole de la connaissance, de l’intelligence, de l’ardeur au travail, bref de M. Quinion.
Après le petit déjeuner, j’ai eu une pensée affectueuse pour tous les élus du groupe Cap’em qui ne font rien, qui ne connaissent rien et qui passent leur temps à se congratuler et à se remercier.
Merci Mme Stocker pour votre travail d’espionnage, merci Mme Stocker pour vos demandes, vos écrits qui ne servent et ne correspondent à rien et qui paraissent dans des médias qui ne sont pas ceux de la ville.
Merci à M. Quinion qui désire une antenne téléphonique dans le centre de Malnoue.
Merci à M. Édouard Lavigne pour ses remerciements dénués de sens.
De 1995 à 2020, les oppositions socialistes d’alors, avant de disparaître au bout d’un an ou deux, avaient comme slogan : « y’a qu’à, il faut qu’on… ». Le tout étant assorti d’aucune proposition d’action réalisable matériellement ou financièrement.
Dans ces conditions, la disparition de l’opposition municipale et sa trahison des électeurs étaient programmées.
Depuis 2020 une nouvelle opposition, composée d’élus de droite, de gauche, du centre, de traîtres, de mutants, a remplacé l’opposition classique de gauche.
Elle ne fait plus rêver mais a transformé la vie politique de notre ville en guerre de tranchées. Elle refuse les résultats des urnes, ne propose rien, ne participe pas à la gestion de la commune et base sa communication sur la gloire de son chef et sur la volonté de nuire aux élus majoritaires et ce, quel qu’en soient les conséquences pour la commune.
Comme pour l’ancienne opposition de gauche, une telle attitude, (trahison de l’ancienne équipe et des électeurs) ne peut que déboucher sur l’implosion et la disparition du groupe.
Ainsi, à peine un an après les élections, deux élus sur six ont démissionné, un élu vit six mois sur douze dans le sud de la France, un élu n’a aucun centre d’intérêt sur Émerainville et bénéficie d’une location gratuite chez une autre élue !