M. et Mme QUINION ne déménageront pas comme le pensait la rumeur sur Pontault mais ils demeureront, sans doute, au Clos quartier d’Émerainville où depuis la révolte de juillet ils ont lié des amitiés certaines.
Après les assauts contre le local de la police municipale, ils ont visité le Clos, puis participé à une fête religieuse dans une rue, décorée au couleur du MALI.
Cette fête organisée sur une voie privée mais ouverte au public, nécessitait pour être légale, l’accord de la copropriété et l’accord de la mairie.
Évidemment aucun des accords n’a été demandé ni donc donné, et il est étonnant de voir un élu municipal, qui plus est, leader d’une opposition, se moquer de la loi d’une façon aussi outrancière.
Cette même opposition a brillé par son absence pendant les nuits d’émeutes. Aucun membre de CAP’EM ne fut présent avec la PM sur le terrain (identique pour l’opposition verte), aucun remerciement ne fut transmis au personnel de mairie (Pm, service technique élus majoritaires).
Cette opposition qui se dit opposition principale aurait, sans doute, pu féliciter le personnel de mairie qui a passé deux nuits blanches a défendre notre ville puis a réparer les dégâts pour qu’au petit matin, les Émerainvillois ne se retrouvent pas dans une ville dévastée.
Rien sinon leur amour du métier et leur sens du devoir ne les obligeaient à la faire.
Cette opposition qui se dit opposition principale aurait pu participer au rassemblement spontané qui a eu lieu devant la mairie,
Une opposition principale ne doit pas chercher la publicité, ne doit pas pour des raisons électorales se pavaner avec une partie des délinquants pour tenter de récupérer quelques voix.
Par contre, elle se doit de protéger sa ville et d’aller « au charbon » quand cela est nécessaire et les 9-10 juillet cela était nécessaire.
P.S. : l’opposition secondaire comme se plait à l’affirmer CAP’EM, n’a pas fait mieux, personne en soutien de la PM, tout le monde au lit bien tranquille, mais il est vrai que sous un discours des plus hypocrites les membres de la NUPES sont pour les révoltés qu’ils excusent à tout propos. Leur absence est inexcusable mais explicable.
Électeurs dans trois ans les élections municipales se dérouleront de nouveau. Rappelez-vous de ces comportements.