À Émerainville, les Verts refusent de voter une demande de subventions pour améliorer la sécurité de la ville et de la police municipale, tout en déclarant qu’ils sont pour la sécurité des biens et des personnes ! Scandaleux et dire qu’ils comptent parmi eux un conseiller régional.
En fait la sécurité ils s’en moquent, ils sont ailleurs, avec leurs panneaux solaires et leurs moulins à vent.
Ils n’osent plus aborder le problème du nucléaire, ils ne veulent pas discuter de tous les problèmes qu’engendrent les énergies nouvelles. Ils se complaisent dans le discours du « il y a qu’à, il faut qu’on » mais reste prudemment au niveau du bla bla sans référence aux problèmes de fond.
Les Verts locaux ou non, sont décidemment étranges voire inquiétants et les animalistes, leurs alliés, le sont encore plus.
Mme Martine STOCKER, voulait défendre les chiens mangés par ces affreux asiatiques, Douchka Markovic veut réhabiliter les rats.
Au conseil municipal de Paris, après avoir constaté l’échec de sa municipalité dans la lutte contre ce rongeur qui envahit les rues de la capitale, cette conseillère les a défendus avec ferveur, les appelant surmulots nom qu’elle juge moins connoté négativement. Elle ne savait, sans doute, pas que c’est son véritablement nom, et que « rattus norvegicus » ne doit pas être confondu avec le rat noir, porteur de la peste.
Quand je pense à la souffrance que depuis des siècles ces pauvres animaux ont dû supporter en étant désignés sous un faux nom : mon cœur se brise.
Il convient d’après notre animaliste, de remercier ces petits bêtes, du rôle qu’ils jouent dans les égouts et, sans doute, engager un dialogue avec eux pour les mieux connaître.
À Émerainville nous cherchons une personne parlant couramment le sanglier pour lui indiquer le futur chemin reliant le bois de Célie au bois de Ferrières, sans passer par la gare. Merci aux urbanistes et aux Verts qui voulaient cette coulée verte, mais comme toujours n’ont rien prévu pour lui permettre d’exister.
À Paris Mme Hidalgo recherche désormais un primate parlant la langue d’un rongeur : le rat.
Deux villes françaises font parties du top 10 des villes les plus envahies par les rats dans le monde : PARIS ET MARSEILLE.
C’est bon pour l’image de la ville lumière et pour le tourisme.
Les jeux olympiques pourront, sans doute, créer une nouvelle épreuve sportive : la course des rats (le rat parisien est donné favori).
Plus drôle encore, Mme DOUCHKA, affirma que pour les logements sociaux, il conviendra de boucher les trous pour empêcher ce gentil animal de passer en allant chercher sa pitance dans les cuisines des locataires.
Même aux INDES ils n’osent pas raisonner comme cela.
Évidemment il serait plus simple de construire et d’entretenir les logements sociaux parisiens qui semblent dans un très mauvais état, avec des trous partout.
Évidemment il serait plus simple de demander aux autres capitales qui ne souffrent pas de la présence trop nombreuse de surmulots, comment elles agissent et ainsi de trouver une solution pour nous en débarrasser.
Mais PARIS est malheureusement aux mains de la gauche, des écolos et autres petits partis politiques.
Les discours, remplacent les actions, les points de détails excluent l’essentiel, nous sommes dans le domaine de la parlotte.