Emerainville au cœur a eu pour ancêtre l’Union des libéraux d’Emerainville Malnoue (ULEM).
En politique, il existe des libéraux de droite et des libéraux de gauche qui ont en commun de vouloir fixer des limites à l’action de l’État.
Au niveau de notre cité, les électeurs ont eu à choisir aux dernières municipales pour :
Pour nous, il convient de réduire les charges de structure au maximum et de dégager les excédents qui permettent de réaliser les investissements indispensables pour la satisfaction des électeurs sans s’endetter outre mesure.
Nos recettes se divisent en trois grandes catégories :
– les impôts locaux que nous avons diminués d’une manière considérable dans le passé ;
– les dotations de l’État qui diminuent considérablement depuis une dizaine d’années selon son bon vouloir et sa mauvaise gestion des affaires publiques ;
– les participations aux activités municipales et aux services rendus à la population.
Notre programme pour les 6 ans à venir, comme ceux qu’ils l’ont précédé, ne fait pas de promesses irréalisables. Il sera exécuté comme ses prédécesseurs à plus de 95 %.
La mauvaise gestion d’une commune ne permet pas d’excuses, du style : c’est de la faute à l’environnement international, à la crise du dollar, à la situation dans les Balkans…
Tout ce qui a été promis doit avoir été fait ou donner lieu à explication rationnelle et compréhensible de tous.
Ainsi la ruine de l’État, qui entraînera une baisse des dotations communales et une augmentation des actions municipales à entreprendre, pourra expliquer sans contradiction de bonne foi possible, une non-réalisation partielle du programme proposé.
Mais nous n’en sommes pas encore là.