Dans une de ses parutions Cap’em réitère ses affirmations concernant
Ce groupe nous confirme qu’il n’est pas d’accord avec l’extension de Guy-Drut, pas d’accord sur les constructions de France-Pierre au château de Malnoue, pas d’accord sur la terre Pylos à côté de l’hôtel IBIS.
Éternelle ritournelle mais lors de la décision d’agrandissement de Guy-Drut le maire adjoint à l’urbanisme s’appelait Quinion et il en fut de même lors de la construction du premier bâtiment de France-Pierre. Pour l’affaire Pylos, les deux représentants de la mairie furent M. Quinion, toujours maire adjoint à l’urbanisme et M. Courtois, chef de la Police Municipale émerainvilloise.
Il est impossible de faire croire au bon peuple qu’aucun de ces deux élus Cap’em ne connaissait ces chantiers et qu’ils les désapprouvaient et ce même si le maire est en final et comme d’habitude le principal responsable.
Pour lui, Guy-Drut est un large succès, les constructions France-Pierre une chance pour le Hameau et l’affaire Pylos sera bientôt réglée devant la cour d’appel.
Cap’em nous serine en permanence depuis trois ans sur ces trois dossiers pour faire oublier, sans doute, qu’il ne connait, par manque de travail, rien aux affaires communales depuis 2020.
Par contre, ce groupe ne peut s’empêcher dans ses virulentes critiques de friser la diffamation.
Ainsi dans l’énumération de ses désaccords, il a cité « certains contrats mirobolants avec un ex-adjoint du mandat 1995 pseudo architecte toujours présent pour le compte de la mairie en 2023 et bien d’autres contrats ».
Après les insultes au personnel, voilà venu le temps des insultes aux fournisseurs. Il serait bon que lors de la vérification de comptabilité que ce groupe va faire, il examine les différents dossiers des marchés et qu’il justifie ses accusations à la petite semaine.
Pour conclure d’une manière philosophique Cap’em qui a des lettres, conclut que « la vanité repousse la bienveillance, la modestie l’attire ».
Évidemment cela n’a aucun rapport avec le texte, mais bon c’est du Cap’em.
Pour notre part nous écrivons :
« À force de sagesse on peut être blâmable, la parfaite raison fuit toute extrémité et veut que l’on soit sage avec sobriété ».
Il suffit de remplacer sagesse par critique et on est chez Cap’em.