Ses  posts figurant sur son FB sont navrants et d’un niveau classe maternelle première année.

Jamais un article de fond, jamais une proposition concrète et constructive  mais des insultes, des affirmations et des « on est les plus beaux »ou des « on a gagné ».

L’affaire LE MEUR, les a boostés.
M. LE MEUR a été condamné en première instance, sur signalement de la mairie pour ne pas avoir rempli son devoir de conseiller municipal. Même les capémistes ont une certaine responsabilité et doivent accomplir correctement leur mandat.
 La cour d’appel de Melun, vient de le réintégrer contrairement aux conclusions du rapporteur.
La commune a signalé comme c’était son devoir, sans porter plainte,   la faute et le « je m’enfoutisme » de l’élu en vacances pendant les élections.
La preuve de ce que nous affirmons  réside dans le fait que seul l’État peut aller en cassation pour contester le dernier jugement.
Évidemment toutes ces subtilités juridiques sont hors de portée de tous ces intellos capémistes qui ne savent que  brailler.

• M. et Mme QUINION, traînent depuis 2 ans leur déception de la défaite et leur haine des vainqueurs. Attention à la déprime.

• M. MERCIER un élu qui s’est présenté, le jour J,  pour démissionner le lendemain pour cause de déménagement (pourquoi se présenter quand on sait que  l’on va partir ailleurs ?)  déclare tout de go que les membres de CAP’EM, sont les meilleurs. Nous nous posons des questions sur ce que doivent être les pires ?

D’après lui, les meilleurs sont les perdants (aux élections, aux procès…) et c’est, sans doute, parce qu’ils sont les meilleurs qu’ils sont condamnés à 6 ans d’opposition et qu’ils viennent encore de plomber leur candidate aux présidentielles qui a fait sur Émerainville 4,48 % des suffrages. Certes  M. MERCIER est socialiste quand son équipe est LR et  il  est, sans doute, responsable des 1,60 %  réalisés par Mme HIDALGO dans notre ville. Ce candidat déserteur est donc à classer : meilleur que les meilleurs. Bravo les meilleurs mais nous sommes heureux dans ce cas d’être les moins bons.

• M. FAVORY dont la langue maternelle n’est pas le français selon sa femme, insulte périodiquement le personnel municipal et les élus majoritaires. Nous lui pardonnons car le français est une langue difficile. Peut-être connaît-il des insultes dans sa première langue ?
  Il nous a quand même communiqué une grande pensée : même la fin a un début. Oui mais la fin de la fin sera dans 4 années et les futures élections permettront peut-être de reculer la fin de 6 nouvelles années car votre équipe sera déconsidérée compte tenu de son inexistence comme opposition.

• Mme TOUCHARD, elle si calme d’habitude, dans un échange épistolaire avec Mme QUINION, s’est déchaînée,  surpassée et traîté le DGS « d’éolienne ». Après avoir affirmé que le maire ne sert à rien, elle  a accusé ce pauvre DGS  « de traiter » (lire  traîner sans doute) dans les couloirs pour brasser de l’air. Était-ce vraiment nécessaire et est ce bien la vérité car cette élue n’est venue que deux  ou trois fois en mairie hors les conseils municipaux, et certaines commissions, depuis 2 ans ?

Bêtise, méchanceté gratuite ? Il est certain que si le DGS désirait poursuivre en justice l’élue, il aurait volontiers la protection juridique de la mairie, car il faut en finir avec ces accusations ridicules, débiles, insultantes, émanant d’élus qui ont seulement le courage des lâches.   

Des insultes répétées frappent le personnel communal, accusé d’être une bande de guignol (avec un e pour faire «  plus mieux »), frappent les élus  et constituent l’essentiel de l’activité de ce groupe..
Nous attendons avec impatience les conclusions de la première action réalisée depuis 2 ans dans l’intérêt de la commune par cette opposition folklorique : la révision des comptes municipaux 2020-2021.
Évidemment au dernier conseil municipal ils ont approuvé les comptes qu’ils viennent vérifier maintenant. Ne cherchez pas à comprendre, c’est capémiste.

Mais ce n’est pas tout. CAP’EM s’attaque aussi aux associations et notamment au MES. Après avoir tenté de phagocyter le club de  foot lors des dernières municipales,  CAP’EM cherche à détruire le MES. Après la fermeture scandaleuse par un membre de CAP’EM  de la section badminton, les trois autres activités de  cette association (karaté-futnet et modèles réduits) ont désiré prendre leur autonomie et créer trois nouvelles associations. Le badminton se réveille et lui qui n’existe plus réclame sa part de la liquidation. Peut-être veut-il des dons pour ne rien faire ?

C’est bien CAPÉMISTE dans la logique.