Il y a peu, la pandémie, selon les discours officiels, était vaincue par la volonté de nos dirigeants et l’efficacité des mesures qu’ils avaient ordonnées au peuple de respecter sous peine d’amendes (pas encore de prison).
Tout le long de cette épidémie les affirmations et analyses de nos savants et de nos dirigeants politiques ont été contredites par les faits.
Naturellement et officiellement, tout est de la faute du citoyen qui n’a tenu aucun compte des prescriptions et des ordres reçus.
Comme je l’avais prévu, après la seconde vaccination obligatoire, une troisième est en préparation (il faut bien utiliser les doses), puis une quatrième suivra et le tout finira par une vaccination annuelle (type grippe).
Les difficultés rencontrées pour mettre en pratique, les protocoles établis par la très haute autorité, les ministres les préfets, sont évidemment négligées par le pouvoir en place.
« J’ai dit,… Commerçants, mairies, débrouillez-vous pour obéir ».
Cette technique utilisée pour les écoles et dans de nombreux autres domaines, (protocole transmis aux intéressés le samedi soir pour une application le lundi matin) a permis à nos administrations centrales, à nos dirigeants de dégager leur responsabilité sans trop se fatiguer
« J’ai ordonné donc je ne suis plus responsable ».
Aujourd’hui, il s’agit d’imposer aux commerces, aux spectacles, etc… une vérification des vaccinations pour tous les clients. Par quel moyen ? Avec quel matériel ?
« Je décide. Vous exécutez et silence dans les rangs ».
Tous les atermoiements, toutes les hésitations sont des signes de faiblesse pour un gouvernement.
Pour finir qui prend un risque ? Le vacciné ou le non vacciné ? Dans le cas où le vacciné serait protégé à plus de 90 %, le risque est pris par le non vacciné qui met en jeu librement sa santé et peut être sa vie, un peu comme un conducteur qui n’attache pas sa ceinture.
En cas de maladie il suffit alors de décréter que ses frais médicaux ne seront pas remboursés par la collectivité et je suis certain que le taux de vaccination va augmenter considérablement.
Le manque de décisions peut être interprété au mieux, comme un signe de mollesse au pire comme la reconnaissance de l’inutilité de tous ces organismes que nous créons à chaque problème.
Cette indécision, entraîne également la responsabilité de l’État.
Nos grands hommes politiques ne se trompaient pas, quand ils écrivaient : « Une commission doit être composée au maximum de trois personnes dont deux sont de trop. » ou encore « Vous voulez enterrer un dossier créez une commission. »
Combien de commissions trucs, de comités machins ont été créés pendant cette pandémie ?
Combien de grands mandarins sont passés sur les médias pour nous expliquer une pandémie qu’ils ne connaissaient pas ?
Combien d’imprimés supplémentaires ont été inventés par une administration «style soviétique » sans aucune utilité pratique ?
Quel a été l’impact des médias qui ont joué un rôle négatif en faisant peur à toute la population pour faire de l’audimat ou vendre du papier ?
Nous sommes les rois de la paperasse, des discussions inutiles, mais dans l’action efficace !?
Heureusement nous avons inventé depuis de très longues années le système D.
Un grand merci à ses inventeurs inconnus.