Devant la proximité des élections, la gauche, (Hidalgo et les écologistes) oublient sa lutte contre les 11 millions de conducteurs dont elle cherche à pourrir la vie depuis des années pour respecter les doctrines de sa pseudo-religion. Plus de refus de la voiture, mais une baisse du prix du carburant, plus de fin du monde mais fin de mois, voire fin de semaine.
Le principal responsable du prix de l’essence est l’État, qui perçoit sous forme de taxes et de taxes sur les taxes plus de 60 % des ventes de carburant.
Il tolère même sans doute pour des raisons financières une monnaie qui n’existe pas : le millième d’euro. Le litre à 1,569 € est théoriquement impossible mais je n’ai jamais eu de réponse à mes questions sur le 0,009 de trop qui doit, compte tenu de l’importance de la consommation, procurer des recettes non négligeables. À quand le litre à 1,5698, voire 1.56989 ?
Le raisonnement est aisé. Plus le prix de vente hors taxe est élevé plus la taxe rapporte. 20 % de 100 € est moins élevé que 20 % de 150 €. Donc l’État est gagnant lors de l’augmentation du prix à la pompe.
Le cadeau de 100 € est :
– très loin du bénéfice tiré de l’augmentation des taxes ;
– ne prend en compte que les augmentations récentes de carburants ;
– ne profite pas aux classes moyennes et aux entreprises ;
– transforme encore les Français en assistés à qui un gouvernement composé d’êtres supérieurs fait l’aumône. J’ai l’impression de revenir au Moyen-Âge, à la sortie de la messe du dimanche lorsque les riches seigneurs distribuaient aux manants faméliques quelques monnaies pour subsister.
Malheureusement, le pli est pris et nous sommes venus des mendiants et les aides, les réductions, font l’objet dans chaque réunion de demandes nouvelles.
L’intérêt particulier prime désormais sur l’intérêt collectif et nous voulons tout (c’est un droit paraît-il) sans effort de notre part.
La réduction du taux des taxes aurait sans doute été plus juste, plus efficace, n’aurait pas favorisé Pierre par rapport à Paul qui, sans doute, en a assez de bénéficier de rien alors que c’est lui qui fait marcher l’économie.
C’est encore, une mesure qui ne correspond pas aux discours officiels qui affirment vouloir réindustrialiser le pays, mais qui ne fait rien pour encourager les créateurs d’entreprises, à l’image du laisser-faire, laisser passer des invasions de roms dans les sociétés.
La prime sera versée par les entreprises à leurs salariés (et allez donc) et remboursable par l’État mais sans délai de remboursement fixé.
Je pense encore une fois que l’État prend les Français pour des cancres, (il a peut-être raison en matière économique) mais leur culture générale à augmenter considérablement.
Par contre, aucune information sur la solution au problème qui dépend actuellement et avant tout du prix que propose « l’étranger » lequel peut avoir par ce biais, une action terrifiante sur notre économie.
Notre ministre tente de nous culpabiliser en nous parlant d’écologie, et du changement climatique dû aux seuls conducteurs de voitures. Mais que représente la pollution générée par les voitures, par rapport à la pollution globale provenant de l’industrie, des avions, ….
L’homme est-il un pervers qui détruit la nature (reprise du péché originel ou de la mythologie grecque, Zeus ayant puni Prométhée pour avoir donné l’intelligence aux hommes qui détruiront l’harmonie céleste).
Le néant à l’égard du tout, le tout à l’égard du néant, le milieu entre rien et tout, serait-il capable de changer le climat de la planète et sans doute d’éteindre le soleil.
On s’y croit non ?
Le CO2 est-il responsable pour partie, du réchauffement climatique, (une découverte récente semble prouver qu’à l’inverse l’augmentation du CO2 suit le changement climatique et ne le précèdent pas. IL ne serait donc pas responsable de ce changement) ?
L’exploitation du gaz de schiste qui a permis le redressement de l’économie américaine détruit elle tout l’environnement ?