Votre newsletter est bourrée de « fake news », est écrite par des « loosers » qui sont déjà des « Has been ».
Je passe sur les erreurs de date commises lors de votre première édition, le rédacteur ayant dû être frappé d’amnésie.
Pour mémoire, le premier tour des dernières municipales ne s’est pas déroulé le 8 mars 2020 mais le 15. Le 15 n’est donc pas le jour du second tour.
Nous pensons qu’il n’y a rien de mieux à écrire sur le sérieux de vos informations.
Mais en poussant l’absurde, encore plus loin, nous vous proposons d’exiger le paiement au personnel d’heures supplémentaires pour vos élections imaginaires du 8 mars.
Nous vous conseillons également afin de ne pas paraître trop ridicules de corriger ces erreurs lors d’un second tirage.
Après cette entrée en matière clownesque, l’Auguste montre son vrai visage et conteste ce qu’il ne connaît pas ou fait semblant de ne pas connaître.
Il reproche notamment l’agrandissement de l’Espace Guy Drut, l’une de ses obsessions principales avec le château de Malnoue dont il semble se désintéresser actuellement.
Nous avons déjà répondu longuement sur ce marché mais l’obsédé ne voulant rien comprendre, nous oblige encore une fois à publier des éléments essentiels du dossier, éléments prouvables et irréfutables.
Les états d’âme, les supputations, les sous-entendus sont les armes préférées de notre opposition qui se base sur aucun élément tangible et sérieux.
Le dossier d’agrandissement de l’Espace Guy Drut a donné lieu à deux commissions d’appel d’offres, le 10 mars et le 12 mars 2020.
M. Quinion, membre à part entière de cette commission n’était présent ni à l’une ni à l’autre. Pour une personne opposée au projet, cette absence nous pose problème.
L’élu connaissant, sans doute, à la perfection le dossier aurait dû venir expliquer sa position à la commission.
Le dossier a été par la suite et conformément à la loi envoyé au service légalité de la Préfecture et est revenu en mairie sans aucune observation. L’attribution du marché qui a eu lieu beaucoup plus tard ne pouvait pas se faire en période de confinement et avant l’élection du maire qui doit signer cette attribution.
Le délai de trois mois critiqué par M. Quinion était connu des trois postulants qui ont tous effectué la visite des lieux le 18 février 2020. Les trois offres reçues en mairie ont donc été envoyées en connaissance de cause. Quant au dépassement du délai, il est soumis à des pénalités journalières qui ont, à ce jour, fait l’objet d’une notification à l’entreprise choisie.
Pour le délai d’analyse faite par l’architecte qui a été choisi, nous ne connaissons pas la vitesse d’exécution de ses travaux, nous remarquons qu’il s’agissait seulement de trois dossiers et nous conseillons vivement à M. Quinion de prendre contact avec l’homme de l’art.
Sur les remarques juridiques faites par l’ancien maire adjoint aux marchés et à l’urbanisme, nous conseillons une lecture attentive des articles L2196-2 et L3131-1 du code de la commande publique car depuis 2018 les marchés sont consultables sur le site REAP du gouvernement.
Nous découvrons avec stupeur chez notre ancien maire adjoint à l’urbanisme et aux marchés une ignorance grave des textes applicables dans ce qui fut son domaine de compétences pendant deux mandats (douze ans).
Nous remercions donc les chefs de service successifs qui ont, sans doute, fait le travail à sa place afin que, vis-à-vis des autres élus, il ne sombre pas dans le ridicule.
En conclusion, nous attendons avec impatience, les futures parutions de Cap’em qui nous font rire et qui nous permettent de découvrir en même temps la face sombre de l’âme humaine.