Nos détracteurs qui écrivent tous, sous des noms d’emprunt dans les médias, nous accusent de tous les maux et jugent ignobles, méprisants, voire orduriers, les articles que nous publions dans les médias et notamment sur le FB « tu sais que tu viens d’Émerainville ».
J’ai peur qu’ils ne connaissent pas le sens réel des mots, car sur la forme je les mets au défi de trouver dans nos écrits une insulte, une grossièreté.
Il est vrai qu’abasourdis par la méconnaissance des problèmes et les certitudes de ces anonymes, nous nous abandonnons quelque fois à l’humour, souvent mal compris, mais jamais méprisant.
L’humour est la politesse du désespoir, mais c’est aussi la transformation de la vie en une large tolérance proche de la charité.
Et à lire ce que nous lisons, la charité nous console parfois du désespoir que nous ressentons.