Notre société donne de plus en plus dans la violence et le fatras de textes législatifs et règlementaires que la France possède, ne permet pas à la police et à la justice de répondre à cette situation.
Ainsi dans certains quartiers, les femmes ne sont pas considérées à l’égal des hommes. Elles doivent se voiler et baisser les yeux dans la rue. Bizarrement aucun mouvement féministe ne proteste tandis que l’Etat a depuis longtemps renoncé à faire régner l’ordre républicain dans ces territoires. On ne bouge pas par crainte d’une révolte voire d’une révolution.
L’autorité est bafouée et les zones de non droit s’étendent dans le pays.
Les maires sont attaqués, bousculés, frappés et les agresseurs se voient infliger comme sanction un rappel à la loi. Tout cela ne pourra pas durer longtemps et une réaction violente est à craindre de la part de la population qui n’aura bientôt plus de candidat pour gérer les communes.
Il est étonnant que l’Etat qui veut tout régenter même le détail de notre vie privée, soit en totale léthargie devant ce phénomène qui globalement peut se résumer ainsi : tout m’est dû sans que je ne fasse rien.
Ce phénomène du « je veux tout mais sans effort » touche toutes les classes de la population.
Ainsi à Emerainville une élue CAP’EM demande vers 22h au Maire un rendez-vous selon les termes suivant, après ne pas avoir honoré trois rendez-vous précédents pris avec son accord :
« Je suis désolée mais étant le premier magistrat de la commune vous devez dispo 24/24 et à proximité. Désolée du désagrément. Vous n’avez même pas le courage hors mairie »
Cette élue qui n’a encore rien fait pour la commune est prête à rétablir l’esclavage pour le maire et les élus majoritaires.
Je rappelle au groupe CAP’EM, que si le maire doit être disponible 24 h sur 24 lors de grands problèmes communaux, il a aussi une vie privée qu’il convient de respecter.
Les coups de téléphones et les SMS pour des peccadilles à des heures tardives peuvent altérer son humeur et celui des membres de sa famille.
Même une CAPÉMISTE peut comprendre cela mais sans doute niera- t-elle les faits ?
Par contre je remercie l’élue concernée qui a au moins écrit en son nom alors que le problème chez CAP’EM consiste dans le fait qu’aucun membre du groupe n’endosse la responsabilité des écrits de son équipe.
Les tracts diffamatoires : Ce ne sont pas eux …. Les attaques contre les vieux (élus ou pas), ce ne sont pas eux, les… les… les…
Bref sur 29 membres, 27 ou 26 sont toujours en vacances ou ne lisent pas leurs propres tracts.