Lors de la création de Cap’em, je me suis interrogé sur la nature de l’âme humaine, l’amitié, la reconnaissance et la trahison. Peu de traîtres ont une carrière importante et peu de girouettes politiques ont accédé très longtemps au pouvoir.
Six ou sept mois après notre victoire, mes interrogations ont porté sur les capacités de notre opposition pour gérer la commune. Son attitude lors des commissions de travail, ses discours et ses remarques au conseil municipal m’ont très vite convaincu de leur incapacité dans de nombreux domaines fondamentaux pour notre ville.
Désormais, je m’interroge sur les raisons de l’implosion de l’équipe capémiste. Sur six élus, deux démissions non motivées sérieusement et une démission décidée par le tribunal administratif pour un élu visiblement prêt à démissionner lui-même et qui ne s’est même pas présenté pour se défendre au tribunal le jour de son jugement.
De multiples explications me viennent à l’esprit :