J’ai aimé, la réflexion faite sur une radio périphérique par le directeur général Carlos Tavares du groupe Stellantis, qui a déclaré que la France est le seul pays où les médias demandent le salaire des « patrons » d’entreprises.
Aux USA, les riches se vantent. En Europe, ils ne font pas de vague. En France ils se cachent.
Cette question est non seulement posée uniquement en France mais seulement aux chefs d’entreprises, et pas aux sportifs, aux artistes, aux présentateurs d’émissions télévisuelles, aux journalistes…
Pour quelles raisons ?
Telle est ma question.
Ce directeur général a constaté que les français sont amoureux de leur voiture alors que la France est « autophobe[BebjAK1] » et met toutes les entraves possibles à leur utilisation (taxes, amendes, etc…).
Ces entraves devraient être levées dans le futur.
L’Europe a décrété, sans études sérieuses, la généralisation des véhicules électriques pour 2035 mais aussi sans respecter un certain nombre d’obligations :
– propreté de l’énergie (dans vingt ans peut être) ;
– installation d’une vraie structure de chargement ( à 5 à 6 ans ).
Les choses n’ont pas été prises dans le bon ordre.
De plus il faut se protéger des constructeurs étrangers notamment chinois qui bénéficient de conditions avantageuses sur le marché européen et ne concèdent pas les mêmes conditions sur leur territoire aux entreprises européennes.
Pour les adversaires des grands salaires, je sais qu’il n’y a pas de grands patrons dans la Nupes et je vois mal Clémentine Autain, Sandrine Rousseau, Rachel Kéké à la tête d’une multinationale laquelle ne tarderait pas à déposer son bilan.
Il faut connaître ses limites et le salaire doit être fonction des compétences et de l’intérêt pour le pays.
N’est-ce pas l’Article 1 de la déclaration des droits de l’Homme qui stipule : « les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l’utilité commune. »
Je connais beaucoup d’élus notamment qui gagnent beaucoup plus qu’ils ne valent.
Le privé a une obligation de résultats, le public une obligation de moyens, le politique aucune obligation avec aucune sanction sauf la défaite aux prochaines élections.
L’irresponsabilité des politiques et des syndicats, est démontrée par les grèves actuelles même si à ce jour, ce ne sont pas des réussites sur le plan participation (6% à l’éducation nationale, peu de salariés de la SNCF, par grand monde dans la rue).
Pourtant M. Mélenchon affirme que ces grèves ressemblent à un mai 68 perlé.
Tout est fait pour paralyser le pays, syndicaliste et politique ne forment plus qu’un, le pouvoir est revendiqué par la rue au mépris de toutes les règles de la démocratie.
Sur le plan communal, Il existe trop d’analogies entre la Nupes et Cap’em, pour ne pas penser qu’outre l’investiture LR, animaliste, et autres, M. Quinion a conclu un pacte secret avec les Insoumis sans que l’opposition verte ne le sache.
Mélenchon et sa Nupes, Quinion et son groupe, même combat. Le premier veut détruire le pays, le second la commune. Tous les deux veulent surtout satisfaire leur égo.
Je rappelle que je constate des faits, que je n’ai pas les solutions, je vois ce que tout le monde voit et je l’interprète à ma manière, ce qui n’engage que moi.
Ainsi, dans la situation actuelle, je souhaite une dissolution de l’Assemblée nationale et un retour aux urnes pour en finir avec les Insoumis et leurs alliés.