Il est impossible de penser que les attaques aux personnes, (notamment les maires), aux commerces, aux mairies, aux locaux des Polices municipales, aux commissariats, aux crèches, aux écoles ont été déclenchées à cause de la mort de NAHEL.  
Il s’agit d’une révolte d’une partie de la jeunesse issue majoritairement  de l’émigration et habitant les quartiers difficiles.
Certains se défoulent en « bouffant du flic » qui les contrôlent tous les jours, d’autres s’amusent à semer la perturbation pour se prouver  à eux-mêmes qu’ils existent, d’autres en profitent pour voler et détruire comme des vandales tous les commerces.
Ils ne pensent pas  une seconde à changer notre société. Ils veulent seulement casser, briser et s’amuser.
Contrairement à mai 68, ou une idéologie tentait de prendre le pas sur une autre, contrairement à la révolte des gilets jaunes qui, avant d’être phagocytée par la gauche, avait de justes revendications ces attaques de la société ne reposent sur rien sauf sur le  désir de « foutre la merde ».
Plus de 80 % des Français désapprouvent cette chienlit, et seule la NUPES ne la condamne pas pour des raisons électoralistes (ils font leurs meilleurs scores dans les banlieues difficiles).
Par contre, plusieurs maires EELV se réveillent et réclament des renforts de police.
Ainsi le maire de LYON, qui n’a pas voulu armer sa police municipale, qui a refusé l’installation dans sa ville de la vidéo protection, exige immédiatement l’arrivée de forces armées.
Ainsi le maire de Grenoble a fait preuve de sa sidération et de sa colère et demande lui aussi des renforts de police.
Tous ces écolos, membres de la NUPES, sont à l’image des éoliennes dont ils préconisent partout l’installation. Ils  changent d’avis selon la direction du vent (voir aussi leur reculade sur les  centrales nucléaires).
Mais enfin, d’où sortent-ils ? Ils ne connaissent pas leur ville, ils ne connaissent pas les différentes populations qui cohabitent ? Ils ne connaissent pas les problèmes de leurs citées ? Ils n’ont pas les statistiques des vols, des attaques aux personnes ? Ils n’ont pas constaté les augmentations des délits et des crimes ?
J’espère que les électeurs se rappelleront de ces évènements et que l’extrême gauche « mélenchoniste » disparaîtra une fois pour toute.
D’ailleurs peut-être serait-il bon de dissoudre l’Assemblée pour se débarrasser d’eux tout de suite.

Ces émeutes auront encore prouvé que :
– les policiers ne sont pas assez nombreux ;
– qu’ils sont mal équipés ;
– que les textes juridiques les paralysent ;
– que les policiers municipaux  n’ont pas assez de pouvoir. Que leurs armes  sont limitées et  désuètes. Elles ont une portée  inférieure aux  mortiers d’artifices que tout à chacun peut se procurer sur internet pour un prix modique. Il leur faut au minimum des lanceurs de 40 et des grenades lacrymogènes.
Je trouve inadmissible que cette police financée par les communes, soit considérée comme secondaire par un État qui pourtant en a un  besoin urgent car il  ne se donne pas les moyens pour assurer cette fonction régalienne. 
Pour nos dirigeants, l’heure n’est plus aux discussions byzantines, mais aux décisions courageuses car il ne suffit pas de demander comme le fait notre ministre des Finances aux assurances de rembourser les dégâts, mais de les éviter.
Monsieur le ministre  tape en touche et se déresponsabilise en oubliant de dire que le prix des assurances va par la suite augmenter.
Il faut une réponse pénale rigoureuse. Il faut des peines exemplaires. Il faut publier les sanctions décidées contre les personnes arrêtées.
Il faut tout revoir, supprimer les aides aux personnes indignes, limiter l’émigration, reconduire à la frontière les indésirables et les hors-la-loi, construire des prisons, renforcer notre sécurité dans tous les domaines.
Évidemment ces mesures seront pour la gauche, qui en joue depuis des années, des mesures racistes, mais la gauche comme la droite (qui a voulu l’imiter) n’a fait que se tromper depuis des années et nous a conduit là où nous sommes.
Tout cela doit être fait dans l’urgence et bien avant la construction d’éoliennes, la recherche de la neutralité carbone de ceci ou de cela, la voiture électrique, l’isolation de nos bâtiments, mesures qui coûtent à notre pays des fortunes.
La révolution n’est pas encore pour demain, car le Français moyen reste à l’écart, cherche à se protéger et à protéger sa famille et ses biens pour pouvoir encore une fois régler la facture.  Le jour viendra où il se révoltera et alors attention à la brutalité franque qui remplacera l’anarchie gauloise.

P.S. : Une grève des conseils municipaux et des policiers nationaux et municipaux  seraient, sans doute, une bonne chose. J’y participerai avec plaisir.