Les complices qui ont aidé à l’assassinat du père HAMEL ont été condamnés respectivement à 8, 10 et 13 ans de prison.
En France, ils feront à peine la moitié de leur peine et ressortiront avec une haine plus grande. Ils seront alors, sans aucun doute, encore plus dangereux pour notre société.
Faire preuve d’indulgence vis-à-vis d’un meurtrier c’est mépriser la victime.
À la place de la charité chrétienne représentée par la sœur du défunt, il serait bon d’appliquer, afin de nous défendre, certains principes du Talmud ou du Coran.
Nous attendons avec impatience les manifestations de soutiens de ces pauvres malheureux qui, sans aucun doute, étaient des personnalités extraordinaires de gentillesse dans leur quartier.
Il en est de même pour M. COLONNA accusé d’avoir participé au meurtre d’un préfet de la République et qui a été agressé dans sa prison par un codétenu.
La responsabilité de l’État est naturellement engagée et, ce crime en milieu carcéral, démontre encore une fois la qualité de notre système pénitentiaire condamné depuis des années par l’Europe et tous les organismes internationaux.
Il en demeure pas moins qu’il est inadmissible que des manifestants corses, brûlent le drapeau Français et veuillent arracher l’arbre planté en souvenir du préfet, pour punir sans doute, la nation française d’avoir condamné ce berger pour crime et surtout de l’avoir enfermé loin du soleil de son pays natal.
On croit rêver !
À ma connaissance, il s’agit d’un meurtre d’un représentant de l’État.
Brûler un drapeau Français, par des « encore Français » sur un territoire « encore Français », montre à quel point notre état est en pleine déliquescence.
La Corse, n’est plus depuis janvier 2018 un ensemble de deux départements français, mais une collectivité territoriale à statut particulier.
Les corses (350 000 habitants, par comparaison notre intercommunalité gère 250 000 habitants) veulent leur indépendance.
Il faut absolument la leur donner, il faut qu’ils apprennent tous à parler le corse et non plus le français. Nos écolos diront qu’il s’agit d’une décision citoyenne, durable et de proximité.
Par contre, après son accession à l’ONU (sans droit de veto quand même) puis à l’OTAN, la corse indépendante devra se gérer toute seule sans aucune aide de l’État français afin de ne pas refaire les erreurs commises lors de la décolonisation de l’Algérie qui nous a coûté financièrement très chère.
Il serait bon devant cette révolte de publier le coût pour la France de cette collectivité à statut particulier.
Pas de double nationalité, mais des quotas d’immigration pour des raisons uniquement politiques et surtout pas économiques), fin des versements des retraites pour les morts, plus d’emprunts garantis par l’État français, destruction de tous les investissements réalisés par l’État colonisateur, création d’une nouvelle monnaie en attendant l’entrée de ce nouveau pays, dans l’UE.
Toutes ces saines mesures permettront aux insulaires de se sentir enfin libres.
Ils ont toute ma sympathie et je leur souhaite bonne chance.
P.S : dans les années 1970-80, j’ai milité (POUR RIRE) avec un certain nombre d’amis pour l’indépendance de Malnoue, mais jamais nous n’aurions tué un préfet pour cette juste cause qui nous aurait permis aujourd’hui, d’avoir un pharmacien sur le Hameau. L’ARS n’aurait pas pu s’opposer à la venue de cette officine indispensable dans une ville nouvelle.