Bon le tribunal a statué, le recours du groupe Cap’em n’a pas tenu 5 petites minutes à l’examen et  nous avons donc remporté les élections le plus légalement du monde.
Les reproches faits reflètent bien l’état d’esprit de tous les membres de cette opposition hargneuse, complexée qui ne travaille pas, ne connaît rien et écrit sur tout.
On joue dans le détail espérant en tirer des annulations. Le maire est allé aux toilettes, les enveloppes étaient groupées par 50, le maire a signé le PV du bureau avec son titre de maire…
Évidemment chacun peut mesurer la gravité des observations faites sur le vote des électeurs. Nous sommes en plein foutage de g…
Les opérations électorales se sont bien passées mais une MARTINE va rechercher la virgule qui manque, faire un photo pour prouver je ne sais quoi.
Il faut  attaquer sans cesse pour se sentir vivre et se donner de l’importance.
Incapables dans la plupart des domaines, ils vont sans doute chercher à nuire à la municipalité sans se préoccuper des conséquences sur la commune.
Le domaine le plus facilement critiquable pour eux est le personnel car sur 200 employés il serait bien étonnant qu’un ou deux ne soient pas totalement satisfaits.
Et puis les attaques sont difficiles à contrer par manque d’éléments concrets. Tout, repose sur des personnes, sur des états d’âmes sur des amitiés ou sur des haines.
Ainsi il est possible de lire sur un FB que je ne nommerai pas :

CC : « On dirait que l’ancien personnel subit des harcèlements… et la catégorie B qui remplace une catégorie A alors qu’elle n’a que des qualifications comptables, je suppose que c’est une jeune femme ? Plus de règle dans cette mairie »
Cela sous-entend quoi cette réflexion ?

Famille CQ : « Il y a bien longtemps que le donnant donnant est l’œuvre en mairie ».
Cela veut dire quoi cette affirmation ?
Évidemment tous ces écrivains n’ont jamais mis les pieds à la mairie ou s’ils l’ont fait ce fut à l’occasion d’un précèdent mandat durant lequel ils ne firent aucune remarque sur la gestion du personnel.
Mais les écrits de ces irresponsables sont totalement diffamatoires et  les sous-entendus inadmissibles.

FF : « Ce constat est grave pour les habitants et le personnel de la mairie le harcèlement est habituel à la mairie d’Emerainville. Les agents auraient bien besoin d’un soutien psychologique. »  C’est une dangereuse émeutière qui le dit. Il est temps de réagir.
Ce message  est écrit par une retraitée de la CAF qui pendant 6 ans avec son groupe socialiste a dû venir 2 ou 3 fois en mairie et ne connaît rien au fonctionnement de celle-ci.
Je pense que sa longue carrière aux allocations familiales l’a très fatiguée et que le soutien psychologique qu’elle réclame pour le personnel lui serait sans doute très bénéfique. 

 GC : « Trois départs à la retraite célébrés en catimini et en petit comité ».  

Famille CQ : « C’est une honte au niveau humain. Aucun respect après tant d’années. En résumé seul compte cet homme et son laquet (faute d’orthographe comprise). »
Le laquais est un valet porteur d’une livrée. L’insulte de CQ est évidente mais le DGS n’a pas demandé la protection juridique que la mairie lui doit.
Le comportement inadmissible du binôme est insupportable.
Cette  critique  faite sans doute après une enquête très poussée, (mais à quelle date ?),   relève plutôt d’une démarche de quémandeurs à la recherche de soutien…
Les réunions de  départ à la retraite ne sont pas du ressort de la mairie qui, cependant et sur demande, prête une salle pour un éventuel pot d’honneur.

FF : « J’ai assisté à une réprimande agressive de M. le maire à l’encontre d’un manager parce qu’il perdait son temps à discuter avec nous des travaux villa Nicolas. J’ai été très choqué par son attitude ».
Toujours ce besoin de soutien psychologique ma chère FF.
FF avait demandé un rendez-vous au  maire, puis reporté plusieurs fois ce rendez-vous en fonction, sans doute, de l’emploi de CC car sans lui rien ne peut se faire dans son équipe (incompétence, peur, méconnaissance ?).
A l’arrivée du groupe, M.  QUINION  ne voulut pas parler au maire, et déclara qu’il ne le reconnaissait pas comme tel, que ce n’était pas son Maire…
On voit le niveau.
Le groupe resta dans le hall et demanda à recevoir des documents que M. QUINION connaissait parfaitement puis que c’est lui que les avait établis lors du précèdent mandat.
L’affaire occupa le Maire, le DGS, et le chef des services techniques qui ont autre chose à faire que de gérer les lubies du groupe de l’opposition.
M. le Maire demanda donc le plus poliment possible au chef des services techniques de regagner son poste et de cesser de perdre son temps. Interrogé suite aux articles publiés sur ce scandale, il est prêt à déclarer qu’il n’a subi aucun dommage à son psychisme et que l’injonction de cesser la conversation l’avait plutôt soulagé.
Pour conclure et raisonner sur des réalités :

– le personnel municipal d’Emerainville ne revendique rien de particulier, il ne s’est pas mis en grève depuis 26 ans. La mairie ne fait face qu’à un seul procès pour lequel le tribunal a en première instance donné tort à la partie adverse.
– Par contre le dénigrement systématique de l’ensemble des chefs de service (dont une liste avait été établie pour les licenciements en cas de victoire de M. QUINION), les insultes à l’égard du DGS, traité de laquais (sans faute d’orthographe), le mépris pour la chef comptable, les insinuations vaseuses, ne glorifient pas  les personnes qui font semblant de jouer les protecteurs des salariés.