Nicolas HULOT, grand prêtre de l’écologie et personnalité préférée des Français avant sa chute médiatique pour les mêmes raisons que celles reprochées à Strauss-Kahn, Bourdin…., déclarait que « l’énergie nucléaire n’était pas l’énergie d’avenir ».
Aujourd’hui tout semble changer. Le candidat communiste est pour le développement de la filière, nos Verts, à reculons certes , s’alignent sur cette position, quant aux socialistes (ce qu’il en reste) ils sont toujours pour et contre à la fois mais réfléchissent et cherchent un point d’accord entre eux.
Nous avons donc dans le cas d’espèce la preuve que nos dirigeants politiques nous baladent, que leurs idées ressemblent à des girouettes et varient selon le sens du vent.
Par contre, je m’étonne de l’apathie des Français qui, sans doute sous hypnose, continuent à voter pour des gens qui leur prêchent tout et son contraire, sans honte, sans excuse en pensant que les bœufs qui les écoutent n’ont pas de mémoire.
L’énergie nucléaire dont la production est régulière, et ne dépend pas d’éléments non contrôlés par l’homme, ce qui n’est pas le cas du moins dans l’état actuel de nos connaissances des autres énergies, qui de plus détruisent notre environnement et dont les conséquences néfastes pour notre santé commencent à peine à être connu.
Il ne reste aux adorateurs de la religion prétendument écologique que :
– la peur de l’enfer nucléaire qui serait causé par un défaut de maintenance provoquant une catastrophe,
– et les résidus dont on ne sait pas quoi faire à ce jour.
Les résidus posent affectivement un problème mais pas plus important que celui que poseront les batteries de nos voitures électriques à venir.
Quant au défaut de maintenance, elle est de la responsabilité de nos dirigeants mais il faut aussi savoir que la sécurité totale dans tous les domaines comme la gratuité du reste, n’existe pas.