« Il est toujours joli le temps passé
Une fois qu’ils ont cassé leur pipe
On pardonne à tous ceux qui nous ont offensés
Les morts sont tous des braves types » (Georges Brassens)
Du moins pour tous les gens de gauche les Staline, Che Guevara, Mao, Castro… toujours des vedettes adulées encore à ce jour.
Mai 68 avait une autre gueule que les manifestations d’aujourd’hui qui peuvent être classées en deux catégories :
1. Des manifs organisées par des professionnels d’extrême gauche (classés à droite par nos médias) qui réunissent 1000 à 2000 personnes (nous sommes 70 millions). Ces groupes ont pour but de bouffer du flic et semer la zizanie. Il faut bien que jeunesse se passe.
2. Des manifs syndicales qui veulent changer notre société libérale en une société socialiste, tous les Français devenant des fonctionnaires. Dans ces groupes se trouvent majoritairement et de loin des employés du secteur public ou semi public qui sont mécontents bien que largement favorisés par rapport aux travailleurs du privé. Ils ne sont pas soumis aux aléas de l’activité professionnelle, ne connaissent pas les problèmes de chômage, sont sur-syndicalisés et veulent imposer aux autres un employeur qu’ils renient.
68 fut joyeux, fait par une jeunesse joyeuse, comme le peuple Français était à cette époque pourtant plus difficile que celle d’aujourd’hui.
Cette révolte eut ses meneurs qui par la suite se sont fortement embourgeoisés (ils profitent encore du système qu’ils ont voulu abattre) et des conséquences économiques néfastes pour le pays, (conséquences que nous supportons encore à ce jour, notamment dans le domaine scolaire).
Quand les nouvelles folies seront terminées, quand les grévistes auront encore une fois massacré notre économie, quand les jeunes crétins auront déduits nos rues, et nos boutiques, nous devrons de nouveau payer les pots cassés.