Comme déjà écrit, nous refusons désormais de répondre au coup par coup aux attaques de CAP’EM.
Nous perdons beaucoup de temps dans ce petit jeu et nous énervons nos administrés qui pensent, avec juste raison, que nous avons mieux à faire dans le cadre de notre nouveau mandat.
Il est cependant insupportable de se faire insulter en permanence, de lire des critiques qui n’ont ni queue ni tête et qui émanent de personnes qui soit ne connaissent rien au fonctionnement d’une mairie, soit ne supportent pas leur défaite et sont prêts à tous les mensonges pour prendre le pouvoir.
Je pense que chacun peut comprendre l’énervement, voire le dépit des personnes qui sont attaquées sur leur âge, sur leur tenue, sur…. et excuser les réponses individuelles qui fusent malgré notre nouvelle discipline.
Par contre nous avons décidé d’analyser mois par mois les reproches qui nous sont faits et de donner nos arguments.
Pour le mois d’août 2020
M. Guillaume COURTOIS de passage à Emerainville :
Il critique notre PM dont les effectifs ont diminué mais il est drolatique de savoir que le capémiste qui nous le reproche est L’ancien chef de la PM Emerainvilloise, parti pour LAGNY et qui fait régulièrement son « marché » parmi nos policiers municipaux.
En revanche notre système de caméras s’étoffe et notre ville est une des plus sûres de Paris Vallée de la Marne.
M. Aurélien DIZY
Il revient à nouveau en pleine forme et nous apprend qu’il est présent dans notre campagne municipale par amour de notre ville (il habite Chelles) et pas comme représentant de LR et de ses cadres. Il n’a aucun intérêt à défendre QUINION et m’accuse d’être partisan, de salir les autres, d’insulter tout le monde et d’abuser des pires manipulations. Bref du DIZY à l’état pur, membre de CAPEM, lequel groupe accuse mais ne prouve rien.
Madame Ternoir Bridget
Après m’avoir accusé de mythomanie, cette charmante personne pense que j’ai bloqué les femmes sur le site d’Emerainville et qu’il est honteux de m’avoir pour maire. Je ne pense pas que les électeurs aient honte de leur choix et je rappelle à cette douce femme que le maire est élu par des électeurs et pas par lui-même. Je ne peux que lui conseiller de s’en prendre aux Émerainvillois qui se sont trompés majoritairement pour la 5ème fois.
M. Masson Boutéra
Il compare les frères maristes avec une boîte libertine Pour moi, qui suis un pur produit de l’école laïque et fier de l’être, le raisonnement m’échappe.
Il m’accuse de tous les maux et cite des termes que j’ai employés et qui ne sont pas des insultes. Ainsi, couple maudit, virus, guignol de service ne sont pas des insultes, et si cela était le cas CAP’EM aurait déjà porté plainte, leurs avocats sont hyper efficaces.
Il termine son article, en apothéose, en citant une phrase de GAULLE concernant FRANCO.
Je maintiens, en ce qui le concerne, ses oublies et je m’étonne des loupés des frères maristes quant à son éducation.
M. Masson Boutera, je vous rappelle que votre formation religieuse comporte le pardon, l’empathie, l’amour de son prochain et même la politesse.
Pour ma part je vous pardonne car vous ne savez pas ce que vous faites.
M. Bruno MERCIER
Cet ancien socialiste qui a toujours été contre la PM nous fait sa pub comme gestionnaire du personnel.
A l’en croire, la hiérarchie est l’unique responsable des démissions du personnel. Ce jugement à l’emporte-pièce, met en cause encore une fois un chef de services accusé de ne pas bien gérer son personnel.
Le chef actuel de la PM était le bras droit de M. COURTOIS quand ce dernier était à Emerainville.
A mauvais professeur, mauvais élève ?
Et puis à LAGNY, M. COURTOIS ne fait pas des étincelles (voir notre article sur la PM de Lagny).
Le nombre de démissions ou de mutations en mairie est des plus bas. M. le maire est donc un excellent gestionnaire. (Voir notre résumé sur le bilan social établi par le centre de gestion).
Un grand merci à M. MERCIER pour avoir démontré l’excellence de la gestion du personnel mise en place par le maire.
Ce détracteur est formidable il arrive toujours en critiquant à démontrer les qualités de l’équipe majoritaire. La question que nous nous posons : le fait il consciemment ?