J’ai toujours eu une certaine sympathie pour les verts surtout lorsque leur score électoral ne dépassait pas 3 ou 4 %.
Voir une gamine suédoise donner des leçons à nos élus (sénateurs, députés) m’amuse au plus haut point et me fait réfléchir sur la déliquescence de notre société. J’ai l’impression d’entendre ma fille de 12 ans m’expliquer comment il faut que je me rase le matin pour ne pas me couper.
S’il est incontestable que le climat change, comme ce fut toujours le cas dans l’histoire de la terre, et ce qui explique l’évolution des primates (dont nous sommes,) obligés de s’adapter, je demeure convaincu que l’activité humaine ne joue pas un rôle primordial dans ce changement.
D’ailleurs un certain nombre d’expériences récentes semble conclure que l’augmentation de carbone provient du changement climatique et non l’inverse.
En toute hypothèse la voiture, cheval de bataille de nos écolos et surtout du fisc français, (qui a trouvé un motif louable pour remplir ses caisses) ne peut pas être la cause principale du réchauffement.
Mais retour sur le parti écologique :
– il n’est pas d’accord sur le programme du candidat ce qui est pour le moins étrange venant d’un porte-parole ;
-il était un proche de M. Hulot, ancien homme politique préféré des Français, accusé d’avoir profité de sa situation pour butiner quelques jeunes filles accortes.
3. Le programme proposé ne respecte plus la doctrine officielle :
– où est passé la théorie de la décroissance ?
– nos centrales nucléaires sont devenues des atouts (maintenant, vive le nucléaire) ;
– nos éoliennes (qui ne fonctionnent que lorsque le vent souffle) perdent de plus en plus de leur crédibilité depuis qu’elles sont, sans doute, responsables de la mort de ruminants paissant aux alentours et même de certains cancers pour les humains ;
– l’énergie solaire n’est efficace que lorsque le soleil brille et ne représente aucunement l’avenir puisque l’astre s’éteindra dans 5 milliards d’années alors que les acheteurs de panneaux solaires n’auront toujours pas obtenu leur retour sur investissements.
Bien sûr il nous reste pour rire :
Les maires écolos, comme les maires de Lyon et de Bordeaux qui ne supportent pas un sapin coupé donc mort et préfèrent investir dans un sapin en duralumin qui comme chacun sait est une matière vivante, ou récupérer des vieilles planches et en faire un arbre de Noël.
Les adjoints au maire de Paris, qui ont fait de la ville lumière une ville des plus sales, envahie par les rats, les dépôts d’ordures et qui deviendra bientôt une ville morte.
Nous ne pouvons plus prendre les écolos pour des doux rêveurs, ce sont des gens dangereux versatiles, dont le programme devra être examiné à la loupe.