Ainsi que le dieu Janus qui possédait deux faces, les élus CAP’EM possèdent deux visages.
En commissions, (quand ils y viennent), ils sont sympathiques et par gentillesse, pour ne pas nous faire de la peine en nous contredisant, ils gardent un silence absolu.
Merci de cette marque d’amitié et de respect.
Par contre, le soir même, apparaissent dans leur FB des articles insultants les élus majoritaires et le personnel municipal.Interrogés individuellement, ils ne savent pas, ne comprennent pas, ne sont pas au courant des posts incendiaires que les furies de leur groupe écrivent. Ils se déclarent irresponsables de ces attaques le plus souvent ad hominem.
En bref, nous pouvons penser que nous sommes devant non pas un groupe de 6 élus, mais devant 6 groupes d’un élu.
Un dernier exemple justifiant nos impressions concerne les élections présidentielles qui se sont très bien déroulées à Émerainville et qui ont donné lieu le soir même, à des critiques virulentes de Mmes TOUCHARD et QUINION.
Pourtant aucune réflexion dans les bureaux dans lesquels notre opposition était présente (4 bureaux sur 5, le bureau de Lavoisier ayant été privé d’un opposant pour des raisons ignorées encore à ce jour).
Disparition de M. LE MEUR et de M. FAVRE ?
Mépris pour les électeurs du quartier concerné ?
Sur 30 personnes de leur liste, les LR – PS sont incapables de trouver 5 représentants pour être dans tous les bureaux.
Maladie de 26 personnes ? 26 travailleurs du dimanche ? Désertion massive ?
Et ils ont le culot le soir même de critiquer et de regretter que des contrôles n’aient pas eu lieu au bureau n°1 (pourquoi le 1 ? Ne font-ils pas confiance à Mme STOCKER ?).
Incapable de prononcer clairement une idée nouvelle, incapable de monter un projet, incapable de débattre en général, ils ne sont bons que dans un point obscur, sur un face book bloqué à insulter le monde entier.
Nous savons que cette liste n’existe plus que sur le papier et tout ce que nous voyons nous le prouve, mais ces gens sont certainement atteints d’une schizophrénie paranoïde.