Un Préfet constatant l’âge des jeunes manifestants, bandits, voleurs, pilleurs, irresponsables, et voulant dénoncer le désintérêt des parents pour leur progéniture, a affirmé que « 2 claques sur le cul et au dodo » pourrait être une solution.
Enfin, une solution simple et de bon sens mais la gauche est montée aux créneaux et a expliqué que la loi interdisait de fesser son enfant (loi idiote, incontrôlable dans la plupart des cas). Et puis, cette même gauche pour dédouaner les parents a donné l’exemple d’une mère seule abandonnée par son mari avec 3 enfants à charge et qui se lève à 5 h du matin, pour aller très loin de son domicile nettoyer les bureaux dans lesquels viendront se vautrer des bourgeois qui feront semblant de travailler.
À vomir, même Cap’em, Hugo ou Zola n’auraient pu imaginer pareil malheur. Par contre, s’il faut aider ces personnes, je ne crois pas, cependant, que les parents d’émeutiers soient tous dans ce cas.
Pour conclure, le droit français par sa complexité, par ses contradictions, par la multitude de ses textes, bloque toute solution efficace et sert de prétexte à nos gouvernants pour ne rien faire et jouer uniquement un rôle de « bonneteaux » (comme Cap’em, sur la commune).