Présents :
Les verts : 2 élus
Émerainville au cœur 17 élus (4 pouvoirs)
Cap’em 5 élus (1 pouvoir. Ce conseiller n’a pas reçu sa convocation qui a été remise par la PM dans sa boîte aux lettres de son domicile de Champs. Cette personne refuse toujours de nous communiquer son adresse mail). Allez comprendre !
Une vingtaine d’Émerainvillois constituait le public, public calme, attentif, discipliné, à l’exception d’une personne qui, coutumière du fait, émet périodiquement des sons bizarres ressemblant à des gloussements. Ça se soigne !
L’ordre du jour ne prêtait pas à de grands débats, ce qui favorisait l’opposition capémiste spécialisée dans les questions de détail, détail du reste, à la mesure de ses capacités.
Le ton fut donné par M. COURTOIS, qui lors du vote du procès-verbal du dernier conseil, reprocha au rédacteur de ne pas avoir précisé le lieu où le maire était allez coucher le soir même. On constate le niveau intellectuel et l’importance des questions posées !
Tout le reste fut à l’encan et M. QUINION se déchaîna.
Désormais, M. QUINION est mieux à sa place dans une opposition qui dénonce tout sans preuve.
3. Ainsi le chef de file voulant une fois de plus jouer les matamores, accusa le maire de punir les grévistes (5 ou 6 animateurs sur plus de 200 salariés).
Le premier magistrat répondit que la grève était un droit constitutionnel, qu’aucune sanction (qui serait du reste illégale) n’avait été prise mais qu’il regrettait que les animateurs aient profité de la grève nationale pour mettre en cause la mairie.
Le maire aurait dû ajouter que Cap’em qui traite les salariés municipaux de GUIGNOLS, qui traite d’une manière méprisante, la responsable des services comptables de « petit cadre B », qui conteste en permanence la qualité du travail effectué par les employés municipaux, était mal placé pour porter de telles accusations et jouer les accusateurs publics.
Le conseil se termina par l’adoption à la majorité d’une motion présentée à la demande du conseil régional, sur les nouvelles orientations de la SNCF.
Les verts se sont abstenus en regrettant la politique de Mme PÉCRESSE en matière de transport, Cap’em s’est abstenu également sans donner véritablement de raison (terme que ce groupe ne semble pas connaître), et Émerainville au cœur, considérant l’intérêt des Franciliens, sans prendre en compte les personnes et leur tendance politique, vota pour.
La motion fut donc adoptée à la majorité, mais le vote Cap’em, nous a étonnés car :
– ce groupe avait l’investiture LR aux dernières élections.
– M. QUINION fut représentant de Valérie PÉCRESSE lors des élections régionales
Une nouvelle trahison se prépare-t-elle et Cap’em veut-il se rapprocher désormais de MÉLENCHON ?
Avec ces élus, tout est possible. !