La réunion du conseil municipal promettait, selon CAP’EM, d’être particulièrement mouvementé, l élu prodigue revenait tenir sa place après avoir judiciairement été révoqué en première instance puis réinstallé en appel. L’opposition se prenait même à rêver à 7 élus car dans sa candeur naïve, elle ne connait rien au code des collectivités territoriales et notamment à l’article 2121-2.
Sa carence en droit public est impressionnante et nous fait perdre un temps précieux.
Hélas, l’élu Cap’em le jour de son triomphe était resté dans sa villa dans le sud de la France.
Les membres de CAP’EM sont décidemment difficile à comprendre.
Dans le public peu d’émerainvillois
L’ordre du jour comprenait notamment :
– L’installation de deux nouveaux conseillers : Mme DIVOUX er M. MATTÉ.
– Le remplacement de M. FAVRE par M. LE MEUR et à cette l’occasion M. le Maire lut une lettre de M. le Préfet qui, sur demande de la municipalité, confirmait la procédure de réintégration d’un élu démis d’office par un tribunal et réintégré par un autre.
M. QUINION qui sans doute n’a rien compris à la lecture, a demandé le lendemain même une copie du courrier, sans doute, pour pouvoir méditer dessus ou intenter une action en justice contre le préfet.
Allez savoir !!!!!
Toutes les autres délibérations furent votées à l’unanimité
Ce compte-rendu serait incomplet, si nous ne dénoncions pas une fois de plus, l’attitude de M. QUINION, qui agressa de nouveau le DGS et lui reprocha en plein conseil de se lever pour fournir au maire un complément d’informations. Ces attaques incessantes sont inadmissibles et M. le Maire demanda aux élus de Cap’em de laisser les fonctionnaires faire leur travail et de polémiquer (le mot est faible) uniquement avec les élus.
M. QUINION reprocha au maire de :
– ne pas avoir fait payer la députée venue faire un tour au troc et puces ????? C’était bien évidemment une manifestation gratuite.
– D’avoir perdu les élections, alors qu’ÉMERAINVILLE donna la majorité à sa candidate. En matière d’élections, il devrait consulter les résultats de son parti en France, dans notre ville, et surtout dans son bureau de vote.
– Il déclara qu’à la suite de son audit des comptes de la commune, (durée de l’audit 3 h) il avait transmis le dossier à la cour des comptes. Nous tremblons.
– Enfin et toujours dans la même veine, il dénonça le prix unique des repas de cantine, principe qu’il avait accepté sans rechigner lors du conseil municipal du 3 octobre 2016, avec M. LE MEUR, Mme STOCKER . Ces anciens élus majoritaires n’ont aucune mémoire.