Il faut absolument dissoudre l’assemblée qui ne représente plus rien et donne une image de la France à pleurer.
La Nupes veut conquérir le pouvoir par la rue un peu comme les bolcheviques en octobre 17. Elle pratique, pour se faire, la diabolisation d’un parti politique et est soutenu par les idiots utiles de droite et du centre.
La droite ne sait plus comment elle s’appelle, le macronisme navigue à vue et le RN cherche une certaine respectabilité.
La situation de notre pays est des plus précaires, les problèmes s’amoncellent, et nos députés s’entredéchirent sur des questions fondamentales comme le port de la cravate, ou sur des propos soit disant racistes.
Cette semaine, une altercation entre deux députés a permis à nos médias de ne pas aborder le réchauffement climatique, l’inflation et les drames de la noblesse britannique.
Un député RN a commis une faute, un délit voire un crime en osant interrompre un de ses collègues de la Nupes qui traitait le problème d’un bateau de migrants, en criant « qu’il retourne en Afrique ».
On prend conscience de l’horreur de cette réflexion.
Ne dites plus jamais à un auvergnat de retourner en Auvergne, ni à un corse de rejoindre son île.
Mais ce fameux « il » qui visait il ?
Où est le racisme ? Dont la définition est : idéologie fondée sur la croyance qu’il existe une hiérarchie entre les groupes humains.
Pourtant cette phrase reprise par l’ensemble des médias a donné lieu à l’interruption de la séance et à la condamnation du député concerné qui a été privé d’accès à l’hémicycle pendant 15 jours et privé de la moitié de son salaire pendant 2 mois pour censure et exclusion (pas pour racisme !!!).
Bizarre comme motif de condamnation.
La position des différents partis politiques est à analyser.
Ainsi : Bruneau Retaillaux président du groupe des républicains au Sénat dénonce une entreprise d’intimidation d’extrême gauche.
Le député Bellamy indique que dans ces conditions il est impossible de conduire une politique migratoire.
La macronie se divise et certains députés ont même le courage de ne pas entrer dans le jeu de la Nupes.