Les élections municipales ont donné lieu de la part de Cap’em à un recours juridique près du tribunal administratif de Melun pour annulation du scrutin.
Le nombre des irrégularités mentionnées était supérieur à vingt, toutes plus ou moins fallacieuses  et n’ayant eu évidemment aucun impact sur les résultats.
Cap’em s’attendait à une victoire électorale facile dès le premier tour puis déception passée, à une annulation judiciaire.
Le tribunal administratif a validé  les élections, le 08 janvier 2021. 
L’opposition de gauche/droite avait jusqu’au 08 février 2021 pour faire appel du jugement et nous constatons que nonobstant les rodomontades d’un certain Mercier (il faut conserver tous ces messages électroniques pour en rire), Cap’em a admis sa nouvelle défaite judiciaire et n’a pas porté l’affaire devant le conseil d’État.
Le dossier est donc définitivement clos et la question qui se pose désormais est la suivante : pendant combien de temps le groupe capémiste survivra-t-il ?
Nous avons désormais deux oppositions (au dernier mandat nous en avions trois) et 21 élus sur 29.
Nous avons proposé aux émerainvillois un programme que nous réaliserons comme les quatre précédents.
Les verts ont eux aussi un programme qui ne correspond nullement au notre et qui s’y oppose même parfois mais la collaboration est possible sur un certain nombre de domaines pour lesquels tout le monde est d’accord (qualité de l’air, lutte contre le réchauffement climatique…).
Pour Cap’em la situation est inextricable pour plusieurs raisons.
Cette opposition n’a pas réellement de programme :

• Adoubée par LR, elle est composée de traîtres, Mme et M. QUINION, Mme Stocker, Mme RONCIN
• de girouettes politiques dont les valeurs sont à géométrie variable et en fonction de leur intérêt (Mme Favory, numéro 2 de l’opposition socialiste au précédent mandat sur la liste de M. Impelizziéri, son mari, M. Mercier responsable socialiste de quelque chose.
• d’irresponsables, comme M. Denard, candidat  capable du pire.

Tout ce beau monde n’est réuni que pour deux raisons :

• l’attrait du pouvoir.
• L’anti » Kelyorisme » primaire, secondaire, tertiaire.

La longévité du maire et le résultat de ses équipes successives leur donnent des boutons.
Émerainville au cœur étant de nouveau en selle pour six ans, ce groupe disparate composé de bric- et de broc pratiquera, dans un premier temps, un harcèlement permanent puis se disloquera, l’anti Kelyorisme ne pouvant pas réunir indéfiniment des gens qui ne se ressemblent aucunement et qui ont raté leur coup, lequel n’aurait pas supprimé l’explosion finale mais l’aurait au moins retardé.