Après le matraquage systématique sur la pandémie qui a rendu la vie impossible et inquiété 66 millions de français,
Après le matraquage sur l’intégrisme islamiste qui a rendu fou de peur 66 millions de français, nous avons droit actuellement de la part de nos médias au matraquage concernant les élections américaines.
Je ne connais pas suffisamment les problèmes intérieurs de la nation américaine et j’avoue que je m’en moque autant que les américains se moquent des problèmes de la France.
Je ne connais pas Joe et je ne suis pas certain que le portrait de Donald, brossé par nos medias aux mains de notre élite gauchiste, corresponde à la réalité.
Je note cependant ;
-que les démocrates sont supportés par la bourgeoisie, le monde intellectuel et artistique, ce qui m’inquiète un peu, ce monde s’étant souvent trompé lorsqu’il se mêle un tant soit peu de politique. C’est un monde du bla bla, de l’apparence, du superficiel….
-que les républicains représentent la droite mais trouvent leurs adhérents dans les classes populaires et les classes ouvrières.
Il est vrai que démocrates et républicains seraient tous les deux classés à droite voire à la droite extrême selon les critères politiques qui sont les nôtres.
Que Donald a pour devise « Amérique d’abord » et j’aimerais que « France d’abord » soit la devise du président français, ce qui nous éviterait, sans doute, des déboires sur le plan politique et nous permettrait des économies sur le plan financier.
Que Donald a 74 ans, Joe 78, ce qui doit donner des boutons à notre principale opposition opposée aux vieux et dont l’argument essentiel, lors de la dernière élection municipale était le jeunisme.
Que Donald présenté comme le grand Satan a maintenu l’économie de son pays (production, moins 3% de PIB, quand la France réalise un moins 18 %).
Alors Donald ou Joe, peu me chaut, les américains sont avant tout des gens pragmatiques et protestants (religion qui a inventé le capitalisme).
Ils ne se perdent pas dans des débats d’idées, dans des discussions byzantines et votent très souvent en fonction de l’économie de leur pays, de leur niveau de vie, sans s’embarrasser de questions qu’ils considèrent comme secondaires (écologie notamment), questions qu’ils pensent pouvoir résoudre à tort ou à raison par le progrès technique.