Je n’écoute plus les radios, je ne regarde plus la télévision.
Les deux sujets traités en permanence étant la guerre en Ukraine et la retraite.
1. La guerre en Ukraine : les renseignements qui nous sont rapportés ne sont pas fiables. On sait maintenant que les bisounours de 1968 ont encore eu tort une fois de plus et que baisser sa garde dans le monde passé, présent et à venir est une imbécilité, voire une trahison. Malheureusement ces révolutionnaires de pacotille dont l’influence a été néfaste dans tous les secteurs de l’économie et surtout dans l’enseignement sont aujourd’hui confortablement installés à des postes de députés bien rémunérés et sans responsabilité.
2. La retraite : j’ai un peu honte de cette population qui pleure (ou qu’on nous montre pleurant) sur quelques mois supplémentaires de travail.
Le système français n’est pas parfait, mais rien n’est parfait, et il est meilleur que beaucoup d’autres systèmes adoptés par les pays voisins.
L’allemand travaille plus que nous, part à la retraite plus tard, touche une pension inférieure à la nôtre et son pays est la première puissance économique européenne.
Il est vrai qu’elle n’a pas été touchée par la lèpre rouge et que ces syndicats ne se sont pas donné pour but de détruire le système capitaliste autrefois libéral actuellement.
De plus, personnes ne parlent des retraites complémentaires qui sont obligatoires de par les conventions collectives dans la totalité des activités du privé et du public, lequel a même choisit un système de retraite complémentaire par capitalisation,
Le « faites ce que je dis, mais pas ce que je fais » remplace désormais la devise de l’État français qui fut autrefois : liberté égalité fraternité.
Enfin, je ne peux que m’interroger sur la manière de vivre et de penser des personnes de 30-40 ans qui attendent avec impatience la retraite. Je ne me rappelle pas, pour ma part, y avoir songé avant 60 ans. J’avais trop de choses à faire dans la vie qui malgré les embûches m’a toujours paru merveilleuse, trop de projets à mettre en place…
Vous pourrez ainsi comprendre mon étonnement lorsque j’apprends que des lycéens vont défiler pour conserver leur régime de retraite actuel ! J’attends avec impatience les mêmes défilés organisés par les maternelles et peut-être même dans quelques années par les embryons de plus de trois semaines.
À moins que ces derniers affiliés à la CGT refusent de se modifier dans le ventre maternel tant que l’âge de départ à la retraite excédera 32 ans.