Les Verts allemands furent contre l’énergie nucléaire et les Verts allemands ont toujours une bonne dizaine d’année d’avance sur les Verts français. Pourtant l’Allemagne ouvre de nouveau des centrales à charbon, centrales polluant notre atmosphère.
Les Verts français avant d’adhérer à la Nupes pour en sortir aussitôt les élections terminées, étaient devenus partisans du nucléaire. Ils ont revu leur doctrine pendant 6 ou 7 mois et vont de nouveau changer de position pour se déclarer de nouveau pour.
On sent les certitudes !
Sont-ils gamins nos députés ? C’est un jeu de cache-cache. Je suis dans la Nupes, je suis contre, je sors de la Nupes, je suis pour.
Les socialistes font de même avec l’Europe.
Pour les Verts, je crois que tout cela est dû à une méconnaissance de l’avenir et à un manque de précaution.
Avant de supprimer une industrie utile, encore faut-il savoir par quoi on la remplace.
Le nucléaire est dangereux mais avant de l’abolir il convient de trouver une autre source d’énergie à rendement et régularité comparable.
Pour l’instant rien. Alors plutôt que bailler aux corneilles, finançons la recherche et cherchons la solution.
Il en est de même des moteurs thermiques. Ils sont polluants. Mais sommes-nous prêts à les remplacer ? Avons-nous solutionné le problème des batteries, le problème de l’électricité qu’il conviendra de produire en supplément, le problème du lithium qu’il faudra se procurer ?
Avons-nous pensé aux centaines de milliers de personnes qui travaillent pour l’industrie pétrolière et automobile ? Que ferons ces futurs chômeurs ?
Allons-nous continuer à détruire visuellement notre environnement, pour produire d’une manière aléatoire avec des moulins à vent construits à l’étranger un peu d’électricité ? Quelles sont les conséquences de ces terribles machines sur la vie animale et même humaine ?
Un article est paru sur ces conséquences mais a été ignoré.
Il faut réfléchir avant de détruire son jouet et je pense que nos écolos vivent dans le présent, dans leur doctrine voire dans leurs rêves sans aucune connaissance des conséquences de leurs décisions sur l’avenir matériel et réel.