Si les oppositions sont nécessaires dans une démocratie représentative, elles doivent se situer au niveau des idées qu’elles sont censées défendre dans l’intérêt de la population.
Les sentiments personnels et humains (amour, amitié, haine) n’ont pas leur place dans le débat démocratique.
Pourtant depuis maintenant plus d’un an, les attaques personnelles provenant du groupe Cap’em visent principalement deux membres de la majorité :
Ensuite, pendant le confinement, Mme Stocker munie de son appareil photo cherchait à démontrer qu’il ne respectait pas la règlementation sur les ventes à emporter.
Cette élue a d’ailleurs porté plainte (puis l’a annulée).
Et que dire des posts que l’on peut lire sur le site du groupe Cap’em. Posts dans lesquels M. Bitbol est insulté par des énergumènes capémistes avec l’accord de l’hébergeur.
Comment expliquer cette volonté de nuire à un élu, comment expliquer cette volonté de détruire un commerce existant sur la Place de l’Europe, de casser la vie familiale et professionnelle d’un élu ? Nous nous interrogeons sur les motivations profondes du groupe Cap’em en espérant que le vrai motif ne soit pas dans la suite de ce que la gauche dénomme en utilisant une périphrase célèbre : « Les heures sombres de notre histoire ».