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J’accuse

Alain Kelyor

Si les oppositions sont nécessaires dans une démocratie représentative, elles doivent se situer au niveau des idées qu’elles sont censées défendre dans l’intérêt de la population.
Les sentiments personnels et humains (amour, amitié, haine) n’ont pas leur place dans le débat démocratique.
Pourtant depuis maintenant plus d’un an, les attaques personnelles provenant du groupe Cap’em visent principalement  deux membres de la majorité :

  • le Maire qui ne serait pas dans la commune, qui ne viendrait jamais à la mairie….
    Le premier magistrat de la commune n’a évidemment que mépris pour ces attaques ad hominem qu’il situe au même niveau que les lettres anonymes qui lui sont adressées régulièrement et dans lesquelles les insultes et les menaces de mort foisonnent.
  • M. Bitbol subit, des attaques incessantes diverses et variées  qui  sont inquiétantes par leur nombre, par leurs diversités et surtout par leurs motivations.
    Cet élu  a été dès le début de la campagne municipale diffamé dans un tract signé de Mme et M. Quinion, M. Le Meur ainsi que Mmes Stocker, et Favory puis  un membre de l’équipe Cap’em, M. Denard lui a craché au visage en pleine pandémie.

Ensuite, pendant le confinement, Mme Stocker munie de son appareil photo cherchait à démontrer qu’il ne respectait pas la règlementation sur les ventes à emporter.
Cette élue a d’ailleurs porté plainte (puis l’a annulée).
Et que dire des posts que l’on peut lire sur le site du groupe Cap’em. Posts dans lesquels M. Bitbol est insulté par des énergumènes  capémistes avec l’accord de l’hébergeur.
Comment expliquer cette volonté de nuire à un élu, comment expliquer cette volonté de détruire un commerce existant sur la Place de l’Europe, de casser la vie familiale et professionnelle d’un élu ? Nous nous interrogeons sur les motivations profondes du groupe Cap’em en espérant que le vrai motif ne soit pas dans la suite de ce que la gauche dénomme en utilisant une périphrase célèbre : « Les heures sombres de notre histoire ».

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