Nous avons suffisamment démontré que l’intérêt du groupe CAP’EM passait dans l’esprit de ses membres avant l’intérêt des habitants. Ces opposants ne pensent, en fait, qu’à discréditer le groupe majoritaire et peu importe les conséquences pour Émerainville. Les seules actions menées depuis 2020 par LR-PS-animaliste se résument en des actions judiciaires (actions perdues), des contestations de points de détail, des fausses nouvelles, des fausses affirmations, des dénigrements du personnel…
Aucune proposition sérieuse en 2 ans mais des critiques sur tout y compris sur des mesures prises avec l’assentiment des cadres capémistes alors qu’ils faisaient partie de notre groupe majoritaire, avant leur trahison.
« Je me souviens » la devise du Québec doit leur être inconnue.
Un des problèmes communaux actuel est constitué par l’affaire PYLOS, qui se résume comme suit :
-la société PYLOS, a acheté le terrain situé en face de l’hôtel IBIS, à la société HUBERT.
Le terrain et les bâtiments ont été laissés à l’abandon, et la mairie a mis en demeure la société propriétaire de sécuriser le tout, la situation étant dangereuse pour les gens du voyage ou les roms, qui squattaient illégalement les lieux.
PYLOS a demandé pour des raisons de proximité et sûrement de moyens financiers, à la mairie de bien vouloir se charger de cette mise en sécurité et le dossier a été traité par M. COURTOIS, autrefois chef de la police municipale d’Émerainville, aujourd’hui membre de l’opposition capémiste.
À ce jour, PYLOS demande à la mairie d’enlever la terre (60 000 m3), terre qui a été répandue gratuitement (coût approximatif de l’opération, 700 000 €) en fonction des accords PYLOS-MAIRIE représentée par M. COURTOIS.
PYLOS désirant vendre son terrain cherche désormais à mettre à la charge de la mairie, qui refuse naturellement, le coût de l’enlèvement des terres (celui de la sécurisation a déjà été gratuit).
Le tribunal a tranché en première instance en reconnaissant la responsabilité « sans faute » de la municipalité mais en la rendant responsable d’une partie du coût de l’enlèvement.
Un appel a été donc fait, des documents nouveaux ont été transmis à la justice et nul ne peut dire qu’elle sera la décision finale de la cour d’appel.
Les assurances ont été aussi « actionnées » pour un remboursement de la partie qui incomberait éventuellement à la mairie dans cette opération.
CAP’EM, reste discret sur cette affaire car malgré son désir de nuisance, le groupe ne peut pas attaquer violemment la commune, un de ses membres étant la partie prenante principale dans l’affaire.
Par contre, M. HULEUX, s’en donne à cœur joie, parlant d’une somme à régler de 3 voire 4 000 000 €. Les Verts sont ainsi faits qu’ils tentent en permanence de faire peur à la population émerainvilloise et française en général.
Dans le cas d’espèce, M. HULEUX a travaillé avec l’accord du maire, sur des sujets écologiques, puis n’étant pas payé à l’aune de ses compétences (selon lui bien sûr) il a refusé ses nouvelles fonctions lors d’un discours au conseil municipal, discours honteux et bourré de mensonges.
Il connait parfaitement les tenants et les aboutissants de l’affaire, mais dans ses écrits, il est incapable d’estimer le volume des terres à transporter alors qu’il connait la surface du terrain et la hauteur de la terre. Il est vrai que les Verts en général sont fâchés avec les mathématiques.
Pire, dans l’affaire PYLOS, il a apporté avec MM. VESVRE, ROBINET, KERGASTEL, au mépris des intérêts de la commune, un soutien à cette société en indiquant qu’il remplissait pour elle, avec son équipe une fonction de gardiennage (gratuite, sans doute, car PYLOS, n’a plus d’activité, n’a pas fourni de bilan au greffe depuis 2017, et son endettement est de l’ordre de 4 000 000 € ).
Ce politicien officie désormais au sein du conseil Régional, représentant le département des Yvelines, département qu’il ne connait pas plus que les problèmes d’Émerainville, à l’exception naturellement de ceux qui peuvent se retourner contre l’équipe municipale dirigeante.
Je rappelle une nouvelle fois qu’une opposition se doit d’être une force de propositions, qu’elle doit protéger les électeurs, et ne pas faire passer ses intérêts, ses frustrations et ses haines avant l’intérêt communal.
À Émerainville, ni CAP’EM, ni les Verts ne sont dignes des voix de leurs électeurs si peu nombreux soient-ils.