Après l’échec de la mise au rebut des centrales nucléaires, échec qui nous coûte très cher et va, sans doute, nous priver d’électricité pendant les mois à venir, la gauche et surtout les Verts veulent la mort de la voiture ( 58 % des moyens de transport utilisés) et son remplacement par des transports en commun.
Ce changement aurait pour conséquence :
– Une perte d’autonomie (il n’existe pas partout des gares ou des bouches de métro à 50 m de son domicile).
– Une obligation de voyager dans des wagons à bestiaux, dans un inconfort total, dans la promiscuité et dans des conditions d’hygiènes plus que relatives.
– Subir les caprices des syndicats qui décident la grève sans s’occuper du coût pour l’entreprise (c’est le contribuable qui paie) et des désagréments subis par les usagers, qui ne peuvent plus aller au travail ou en vacances.
Imaginons la puissance de la SNCF, de la RATP et de ses syndicats révolutionnaires en cas de disparition de la voiture ?
Imaginons la gabegie financière qui résultera d’une gestion syndicale et du trou financier que le contribuable sera obligé de boucher (il est déjà considérable actuellement car ces sociétés, plus ou moins étatiques, vivent non pas de leur activité mais de nos impôts).
Je ne parlerai pas du manque d’investissements, des retards dans les horaires, des accidents de plus en plus fréquents pour conclure sur une mauvaise gestion jamais punie.
Pour finir je note la mauvaise stratégie syndicale, car si dans notre pays il est possible de cracher sur le drapeau, sur notre histoire, sur nos hommes politiques, il est interdit de toucher aux vacances principal centre d’intérêt avec l’âge de départ à la retraite.
NB : Avez-vous remarqué que les entreprises qui coûtent des fortunes aux contribuables sont toutes des entreprises nationalisées, toutes en perte financière et dans lesquelles les syndicats ont le plus de pouvoir ?
Coïncidence ?