Géographiquement et historiquement, cette ville n’a jamais été comme les autres.
- Composée de trois entités (Malnoue, Émery, Courcerin) elle a perdu le Courcerin le long des siècles, et actuellement possède tout en double (deux églises, deux salles de sport, deux mairies…).
- Sur le plan sécuritaire, elle a créé un service de police municipale et armé ses policiers (la milice de KELYOR selon les gauchos de l’époque), bien avant ses villes voisines.
Elle a installé un système de vidéo protection ou de surveillance pour faire plaisir à notre gauche très portée sur la sémantique (la naissance du BIG BROTHER Émerainvillois selon notre opposition de l’époque).
Ces spécialistes de l’opposition, utilisent des mots nouveaux qui ne changent pas la réalité. J’ai connu au siècle dernier l’invention par les socialistes de « la rigueur » de gauche qui remplaçait, l’ « austérité » de droite. La ménagère n’a pas vu la différence pour son pouvoir d’achat. Quand les mots se gonflent, quand ils perdent leur sens, il faut se boucher les oreilles. - Sur les menaces faites contre les élus et le non-respect de la fonction.
Dès la fin des années 90, les lettres anonymes de menaces fleurissaient et les gestes d’égorgement étaient fréquents lors du passage d’un élu dans la ville. Tout cela s’est un peu calmé, mais existe encore. - Sur les rapports entre élus
Si nous avons conservé des relations correctes avec les Verts nonobstant nos différents politiques et certains discours ne reflétant pas la réalité, notre seconde opposition LR-PS ne respecte rien ni la loi ni les personne ni la fonction.
M. QUINION traite en permanence les 21 élus de la majorité de menteurs, M. COURTOIS, policier municipal à LAGNY, dans un discours célèbre qui fera, sans doute, date dans l’évolution de la démocratie française et les rapports entre élus, après m’avoir traité de K LIMERO affirme que je montre ce qu’il y a de plus vil dans la nature humaine.
Mme STOCKER confond le rôle d’élu avec celui d’espion.
Bien sûr, si nous sommes tous d’accord sur le comportement de ses vaincus qui ne se conduisent pas en opposant mais en combattants, en permanence sur le sentier de la guerre, nous regrettons que les familles de ces mêmes élus se mettent de la partie et viennent dans le public, brailler pendant les conseils, cherchant visiblement l’affrontement et l’expulsion.
Certes, notre opposition est très spéciale mais je suis certain que de tels évènements vont se produire dans les autres communes, car les luttes politiques se sont transformées en guerre de tranchées et le respect que les élus avaient entre eux a totalement disparu.
Aujourd’hui les scores électoraux sont contestés, la légitimité du pouvoir en place rejeté mais M. QUINION devra attendre encore 4 ans pour se représenter et être de nouveau battu.