En cette semaine de Noël, cherchons à élever les débats en citant des passages d’écrivains célèbres et tant pis pour Cap’em. 

THUCIDYDES
« Allons-nous oublier qu’il y a plus de vigueur dans une cité régit par de mauvaises lois auxquelles on ne déroge jamais, que dans une autre où les lois, si bonnes qu’elles soient, restent sans force ? » 
À  méditer par nos gouvernants avant la guerre civile.
« Les gens attachés à leur tranquillité ne peuvent en effet survivre que s’ils ont à côté d’eux des hommes d’action énergiques. »
À méditer par tous les mécontents permanents qui ne font rien mais critiquent tout.

PLATON

« Lorsque les pères s’habituent à laisser faire les enfants,
Lorsque les fils ne tiennent plus compte de leurs paroles,
Lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves et préfèrent les flatter,
Lorsque finalement les jeunes méprisent les lois parce qu’ils ne reconnaissent plus au-dessus d’eux l’autorité de rien et de personne,
Alors c’est là, en toute beauté et en toute jeunesse, le début de la tyrannie. »
À méditer par notre  ministre de l’Éducation nationale.

Général de division GILBERT ROBINET

« L’identité nationale c’est d’abord une histoire d’amour. L’amour de son pays, de son passé de son présent et même du futur que l’on espère pour lui.
Pour un pays est ce de sa langue, de ses montagnes, de son histoire, de sa religion,  de sa littérature, de ses prouesses techniques, de sa contribution à l’évolution du monde, de son équipe de foot, de son régime social, peu importe, si autour de ce sentiment  se constitue une conscience morale partagée. »
Il faut tout reprendre me semble-t-il et notamment enseigner correctement notre langue et notre histoire à nos jeunes.

La Nupes et l’inaptocratie

Ce système de gouvernement où les moins capables de gouverner sont élus par les moins capables de produire et où les autres membres de la société les moins aptes à subvenir à eux-mêmes  ou à réussir, sont récompensés par des biens et de services qui ont été payés par la confiscation de la richesse et du travail d’un nombre de producteurs en diminution continuelle est un système qui ne peut pas perdurer et disparait lorsque se termine l’argent des autres
Ce programme, à  peine commencé, n’est  pas loin de sa fin.