J’ai reçu personnellement le fils de la victime et j’ai sur sa demande suspendu le compte rendu du drame qui a été publié sur le site de la mairie.
Naturellement sur le blog de Cap’em, les trois ou quatre bloggeurs de service s’en sont donnés à cœur joie.
Mlle Quinion (les messages sont de plus en plus souvent écrits par la famille monsieur, madame, mademoiselle) m’accuse de comparer l’occupation d’un local avec un féminicide ? Je conseille à Mlle Quinion de reprendre son Larousse et de chercher la définition exacte de « féminicide ». Je lui conseille également d’écrire sur des dossiers qu’elle connait. Aucun membre de Cap’em n’était présent à Malnoue quand il a fallu assister les forces de police et protéger les habitants.
Un petit nouveau, M. David F. fort mal embouché par ailleurs, accuse un certain Alain (il est quand même prudent) de sous merde et de le faire gerber. Cet illustre personnage, qui sans doute, a accompli pour sa ville des exploits qui lui permettent d’écrire ces insanités, n’a absolument aucun respect pour cet Alain et surtout pour, si je ne me trompe pas de personnage, la fonction qu’il représente.
Les olibrius dans son genre sont légion sur les réseaux sociaux et ne méritent que notre mépris.
Tout cela naturellement justifie la décision du conseil municipal de porter plainte systématiquement quand les conditions sont réunies afin de casser cette spirale infernale de la violence verbale avec des menaces parfois physiques, des insultes, des propos diffamatoires… qui règnent sur Émerainville depuis l’arrivée de Cap’em mais qui règnent également en France sur la plupart des réseaux sociaux.