État des présences :
M. Huleux demanda l’autorisation de lire une déclaration, sur l’écologie, et lut un texte politique qui n’enthousiasma pas l’ensemble des conseillers municipaux.
Il faut bien que cet élu justifie son élection au conseil régional, élection qu’il doit essentiellement à son parti.
Un court débat s’en suivi.
Monsieur le Maire, dénonça le caractère théorique de la nouvelle religion qui comme toute religion reste dans le domaine abstrait. Dans la déclaration de l’élu Vert on retrouve les idées des utopistes du XIX ème siècle, et nous avons cru entendre Fournier, nous parler de ses phalanstères. Par contre, pas un mot sur le financement des avancées sociales qui devraient découler de ses théories fumeuses.
La motion fut rejetée (26 abstentions et 3 pour).
Le conseil municipal ouvrit ensuite sa séance.
L’ordre du jour comportait :
Ainsi le leader de Cap’em a reçu, lu et mal digéré, une lettre du Préfet sur la possibilité par les mairies d’investir en 2023, jusqu’au vote de leur budget (entre le 1er janvier et fin mars, début avril), 25% des investissements réalisés en 2022.
Cette possibilité existe depuis de nombreuses années le Préfet ne faisant que rappeler un texte très ancien et mis en pratique à chaque exercice comptable.
Après deux mandats avec nous, (12 longues années)
M. Quinion le découvre et mieux, l’interprète faussement.
L’apprentissage n’a servi à rien dans son cas.
M. Le Maire en plaisantant proposa à l’élu de Cap’em d’écrire au Préfet pour confirmation.
Mme Touchard, quand a elle, demanda la nature de la provision pour frais financier ce qui venant d’une personne qui se dit expert-comptable est très, très étonnant. Les financiers de la majorité sourirent à cette question et répondirent qu’une provision pour frais financier était constituée pour tenir compte des frais financiers pas connus exactement actuellement (il s’agit du principe d’une provision).
2. Après les finances, l’ordre du jour comportait 2 résolutions concernant le renouvellement de contrats.
Le premier concernait les assurances de la mairie. Ce contrat avait été approuvé par M. Quinion lors de la commission d’appel d’offre mais cet élu très lunatique vota contre au conseil.
À quoi servent les commissions dans son esprit ?
Le second contrat portait sur des opérations d’espaces verts. M. Quinion lors de la CAO avait voté contre mais sans donner de raison comme souvent. Lors du conseil municipal il expliqua que la mairie avait du personnel et du matériel, et qu’il était inutile de prendre des sous-traitants.
M. Le maire lui demanda le fond de sa pensé car effectivement si la mairie dispose du personnel et du matériel nécessaire, elle n’a besoin de sous-traitants à moins que le personnel ne fasse rien.
Le premier magistrat considéra le raisonnement de Cap’em comme une insulte, envers le personnel (ce n’est pas la première) accusé de ne rien faire.
3. Puis sont arrivées les délibérations concernant les subventions, ce sont des subventions qui ont déjà été demandées en 2022 et non pas été acceptées par manque de moyens de l’État. Elles furent adoptées à l’unanimité.