Etaient présents :
Monsieur le sous-préfet,
Monsieur le maire de Torcy, président de la communauté d’agglomération PVM et un membre de son cabinet,
Le maire de Lognes,
Le représentant du maire de Croissy-Beaubourg,
Le maire d’Émerainville,
2 représentants des clubs d’avionneurs,
1 représentant de « AIR PARIF »,
des membres de Aéroports de Paris,
2 membres de l’association ARALE.
ORDRE DU JOUR :
1. Installation des capteurs de bruit
Les lieux retenus sur Malnoue et sur Croissy-Beaubourg ont été acceptés par le comité.
2. Les silencieux
Comme en 1997 le problème des silencieux a adapté aux avions s’est posé.
Un membre de l’ARALE, a demandé dès le début de la discussion, avec le tact qui caractérise cette association, que le financement de ces éléments ne soit pas à la charge du contribuable local comme ce fut le cas en 1997 le coût global ayant été supporté par tiers (1/3 commune, 1/3 les clubs, 1/3 EPA MARNE).
Monsieur le sous-préfet a fait remarquer que les avions qui volaient actuellement le faisaient dans des conditions légales et que rien ne leur imposaient d’acheter des silencieux.
Monsieur le maire d’Émerainville indiqua qu’un raisonnement semblable avait été retenu en 1997, puis il demanda aux représentants des clubs la liste de leurs avions par catégories (A-B …..) Le nombre et le coût des silencieux nécessaires pour diminuer considérablement le bruit.
Nous attendons cette liste.
3. La convention de bonne conduite
Une proposition de convention avait été, depuis quelques semaines, proposée par le maire d’Émerainville à ses collègues de Lognes, de Croissy-Beaubourg, à la communauté d’agglomération et à la sous-préfecture.
Il s’agit d’un texte précis qui propose des mesures simples, possibles et rapides à mettre en place. Il a reçu l’approbation des quatre maires concernés et du président de la communauté d’agglomération lequel a ajouté un certain nombre de mesures, (toutes acceptées par les maires concernés), le complétant.
Ce texte n’ayant pas été étudié suffisamment par toutes les parties prenantes, il a été convenu d’en débattre lors d’une prochaine réunion.
Par contre, nous avons appris en séance que les représentants d’Aéroports de Paris avaient eu des réunions de travail avec l’ARALE sans qu’aucun maire n’ait été invité.
Cette situation intolérable fut dénoncée par tous les représentants des collectivités.
Le maire d’Émerainville déclara qu’évidemment il ne se sentait aucunement engagé par les analyses, propos, conclusions, faites et tenues lors de ces réunions.
Discuter d’un problème aussi grave pour plusieurs villes, sans aucun élu de ces mêmes villes, avec seule une jeune association politisée par ailleurs, qui ignore les rapports historiques et qui confond textes législatifs et recommandations, est inutile et impossible à tolérer.