Cette commission s’est réunie le 4 janvier à 11 heures sous la présidence de M. ALAIN KELYOR aidé de M. Denis LEVRON, vice-président.
Étaient présents pour les oppositions :
M. QUINION
M. COURTOIS
Pour la majorité :
M. KELYOR
M. LEVRON
Mme FABRIGAT
Mme ANNOQRI
M. MOREL
Mme BEAUDRY.
Pour les administratifs :
Mme CARDOT
M. BEAUDRY
M. CAULAY
M. JEDREZAK
M. le Maire donna les grandes lignes du futur budget pour les services techniques, les ateliers municipaux et l’urbanisme.
M. LEVRON énuméra les principaux projets de la commune dans lesquels nous pouvons citer l’agrandissement de Guy DRUT, l’agrandissement de Jacques ANQUETIL, l’achat de la base GARMATEX, la création possible avec le collège d’un terrain de sport…
Évidemment le budget n’étant pas définitivement terminé, les actions envisagées, les chiffres indiqués étaient susceptibles de modifications.
A ce propos M. le Maire rappela la procédure employée pour aboutir à la création du budget de l’année et à sa présentation au conseil municipal :
Évidemment, toute cette longue procédure n’a de sens qu’en présence d’une opposition qui possède un minimum de mémoire et de connaissances en gestion d’’une commune.
Les commissions ne sont pas des lieux de méditation transcendantale ni des salles de classe dans lesquelles les opposants apprennent leur travail mais des lieux de discussion et de proposition.
Nous avons déjà dénoncé à plusieurs reprises cette méconnaissance de nos opposants qui, par ailleurs, sont loin de compenser cette lacune gravissime par un travail minimum en mairie.
Les questions soulevées par les deux membres de Cap’em furent soit hors sujet soit insignifiantes. Il n’y a pas eu de débat mais nous avons appris que pour M. QUINION (membre d’Emerainville au cœur pendant douze ans avant sa trahison) le passé n’existait pas. La responsabilité des maires-adjoints (il fut chargé de l’urbanisme) n’existait pas non plus car seul le Maire signait les documents définitifs.
En conclusion et pour paraphraser une phrase célèbre, le Maire est coupable sans être responsable et le maire-adjoint est responsable sans être coupable.
C’est sans doute cela la version « capémiste » de la solidarité.