Sans vouloir relancer la polémique sur notre opposition capémiste, force est de constater que :
Nous pensons que les Émerainvillois sont conscients de cet état de fait et qu’ils ne nous en tiennent pas rigueur.
Pour le reste ces querelles répétées ne nous détournent pas de notre fonction première et prennent quelques minutes de notre temps par semaine.
Nous prions les donneurs de leçons de s’abstenir de toutes réflexions ou de venir en mairie nous aider car les critiques et les conseils font rarement avancer les choses.
Et puis, Cap’em existerait-il encore si nous ne faisions pas parler de lui ? Que pourrait-il écrire lui qui n’a absolument rien fait pendant un an.
Et que diraient les critiqueurs, si nous n’avions plus d’opposition (même la plus stupide) ? Notre maire serait accusé de dictateur, accusation ridicule pour un homme réélu démocratiquement 5 fois de suite dans sa commune.
Non, non, nous voulons chérir Cap’em même en l’étrillant de temps en temps mais sans en retirer la moindre fierté du reste, compte-tenu de la facilité de l’opération.
La dernière affaire en cours, l’affaire Bernard
Le Meur démontre si cela était encore nécessaire, l’explosion de Cap’em dont les membres quittent le navire un par un.
Bernard criait partout qu’il allait démissionner pour de multiples raisons et l’appel qu’il a fait du jugement prouve ou qu’il mentait ou que personne ne lui a demandé son avis pour engager la procédure.
Mais plus grave pour l’avenir : quid de M. David Fabre, qui refuse de prendre contact avec la mairie, pour démissionner (comme le fit M. Mercier) ou pour accepter son entrée au conseil municipal (comme le fit Mme Stocker) D’après M. Fabre, il n’a plus rien à faire avec les gens de sa liste.
Que cache l’attitude de cet élu ? Mésentente ? Désillusion ? Ou bien inscription bidon sur une liste qui n’arrivait pas trouver des candidats et qui a été obligée de faire son marché dans les différents partis politiques ?
M. Quinion se garde bien de parler de son 9ème de liste, et pourtant c’est lui qui l’a choisi.
N.B. : Temps pour la rédaction présente 4 minutes d’un dimanche pluvieux.