Après avoir été fièrement débouté d’un procès ridicule fait à un des élus majoritaires, Cap’em qui ne recule devant rien, a contesté la tenue des commissions municipales, les documents fournis à leur occasion, les explications données, le jour et l’heure de ces commissions (qui ne plaisent pas à Mme TOUCHARD).
Nous devons aussi supporter les pertes de mémoire ou l’incapacité en calcul mental de l’opposition qui écrit sur son blog que les élus majoritaires sont peu nombreux aux commissions.
Évidemment les différentes feuilles de présence que par prudence nous faisons signer, démontrent le contraire.
Le refus du réel oblige cette opposition, lorsqu’elle ne tombe pas dans l’absurde, à mentir, mentir, mentir. Nous ne savons pas si elle en a vraiment conscience et si elle ne tombe pas plutôt dans la schizophrénie.
Le mal est profond et ne peut conduire qu’à la disparition de cette équipe disparate, et qui aurait été incapable de gérer convenablement notre ville.
Nous nous étonnons de plus en plus de l’obtention par M. QUINION de l’étiquette LR aux municipales, même si nous savons que la personne responsable de la décision ne connait rien à la Seine-et-Marne nord, aux problèmes de notre ville et de notre communauté d’agglomération.
Comment une dirigeante LR a-t-elle pu donner l’investiture à une liste composée en partie de socialistes, (n° 2, 7, 15 sur la liste) ?
Pour quelles raisons LR ne s’intéresse-t-il pas aux procès perdus par son équipe ?
Que se passe-t-il dans ce parti qui fut autrefois le mien quand il avait la capacité de diriger le pays, du temps ou ses élites connaissaient le terrain ?
Pour notre part, nous pensons que désormais, M. QUINION dans ses agissements et ses comportements ressemble plus à M. MÉLENCHON qu’à Mme PÉCRESSE.
Le ton est le même, les insultes se ressemblent et les solutions alternatives à tous les problèmes soulevés n’existent pas.
MÉLENCHON et QUINION, ce sont : moi d’abord les autres sont des nuls et dès mon élection vous allez voir ce que vous allez voir mais je ne vous dis rien maintenant.